Re: Vos films (hors super-héros) : Pépites & navets

[Mister BAdmin-Man]

Cool, il y a de très bons films dans cette liste, comme :
3:10 to Yuma ;Anatomy of a Murder ;Dirty Harry ;Born Yesterday ;Sons of the Desert

Et même un de mes films préférés : Breakfast at Tiffany's (avec Audrey ).

[PipoEternel]

Hier soir je me suis fait "Millenium"avec Daniel Craig et Rooney Mara sorti en 2011.
Je sais, ça date...
J'étais pas chaud bouillant au départ à cause de mon aversion des blockbusters soi-disant adaptés de roman à la mode.
C'est un trip suédois sombre et silencieux où ça caille même dans les maisons à un point qu'on se demande s'il n'y a pas une crise énergétique dans le pays nordique le plus moderne!

Les images sont belles et au départ c'est lent comme du Bergman. On se demande si Craig est employé pour mettre des chiches... et bien non! En fait il en reçoit pas mal...

La petite punk, son mal-être existentiel qui la rend bien destroy, son jusqu'au-boutisme, sa sexualité animale et son talent de hackeuse à crête sont juste formidables et c'est le grand atout de ce film au scénario policier intéressant même si souvent prévisible.

Les acteurs sont convaincants et bien choisis (épatant Stellan Skarsgard) mais bon dieu de mer** qu'est ce que c'est que cette scène finale où la pauv' punkette se met un vent abominable en voyant que le beau Daniel n'en a rien à cirer de ses petites fesses alors qu'elle allait lui offrir un zoli blouson en cuir est un carnage de déception pour le spectateur romantique!

Je l'ai toujours pensé: On ne respecte pas les punks c'est pour ça qu'ils emmerdent le monde!

[Mister BAdmin-Man]

Django Unchained, le meilleur Tarantino depuis Pulp Fiction

Souvent dit-on que les bandes annonces dévoilent trop d'un film où donnent de fausses illusions, ici ce fut l'inverse. Tantôt le trailer me donnait l'impression d'un énième film d'un Tarantino en perte de vitesse, loin des débuts fastes de sa carrière de réalisateur, tantôt la vue du film prouva que j'avais tout faux !

Django Unchained se penche sur le parcours sanglant (qui l'eut cru de la part de Tarantino) d'un esclave, Django (Jamie Foxx), affranchi par un chasseur de prime, le Dr Shwartz (Christoph Waltz). Rapidement les deux hommes se lient d'une amitié forte alors que Django se révèle être un brillant tireur et un très bon chasseur de prime. Au nom de cette amitié, Shwartz accepte d'aider l'ancien esclave à affranchir son épouse (Kerry Washington) au main de Candy (Leonardo DiCaprio), un riche planteur du Mississipi retranché dans sa plantation gargantuesque surnommée Candyland.

C'est donc pendant 2h50 que l'on découvre cette fantastique épopée sur fond de traite des nègres. Dans ce long métrage, Tarantino rend un vibrant hommage aux westerns spaghettis. Le point d'orgue de cet hommage est sans conteste le nom Django, patronyme du héros de Sergio Corbucci incarné par Marco Nero. Le cinéaste le soulignera d'ailleurs dans les quelques lignes qu'échangent Foxx (nouveau Django) et Nero (premier des Django) accoudés à un comptoir, l'un expliquant comment son nom se prononce et l'autre soulignant qu'il le savait déjà.

Rencontre au sommet entre deux Django
On notera aussi la reprise de la magnifique chanson du film de 1966 (cf ci-dessous). C'est d'ailleurs là que je pourrais chipoter un peu en critiquant la BO, bien qu'il y ait de très bons titres, j'avoue que le rap m'a un tant soit peu consterné dans ce type d'histoire qui se veut un héritier du passé glorieux du 7ème Art. Néanmoins, le film serait bien limité s'il se contentait d'être un simple hommage, aussi ce serait méconnaître Tarantino que de se borner à ce simple constat.

En effet, comme je le soulignais l'histoire est très bonne. On pourrait peut être reprocher une narration un peu décousue, comme sur Death Proof (2007), mais arrivé à la fin, on se rend compte que l'ensemble forme en réalité, un tout parfait et incessible. Aussi, la construction du personnage de Django et sa relation avec Shültz font vraiment la force de ce long métrage.

Django / Shültz, duo de choc
Long métrage appuyé par des dialogues comme seul Tarantino sait en écrire, mais pas le Tarantino de Inglorious Basterds (2009), non je parle du Tarantino de Pulp Fiction (1994) ! Il y a de véritables répliques d'anthologie dans ce film et Spike Lee pourra bougonner comme il veut dans son coin, '' nega '' n'est en aucun cas utilisé à outrance. Au contraire, il me semble normal qu'un film qui traite des esclaves dans le Sud profond des années 1850 emploie ce terme et présente tant de cruauté envers les noirs. Ce n'est en aucun cas un manque de respect envers les ancêtres de cette communauté et encore moins une marque de racisme.

Pour achever ce petit tour d'horizon, il faut évidemment se pencher sur les performances des acteurs. Christoph Waltz s'impose incontestablement. Après avoir joué un officier SS dans Inglorious Basterds, le voici de retour dans celui du partenaire de Django, et il se révèle encore meilleur que dans le précédent film. Son jeu s'allie à merveille à la patte Tarantino et le duo Django / Shültz est sans aucun doute renforcé par l'alchimie entre Waltz et Foxx. Citons de même, DiCaprio qui ne finit plus de nous montrer ses talents d'acteur depuis quelques années, après avoir excellé dans Shutter Island (2010) et J. Edgar (2012), il était tout normal de le voir jouer du Tarantino dans un rôle sur mesure. Achevons, par le rôle de Stephen incarné par Samuel Jackson, acteur incontournable pour le cinéaste qui lui créé ici un sacré personnage haut en couleur aux répliques percutantes et mémorables.

Samuel Jackson est Stephen

Au final, Django Unchained est un des meilleurs films de Tarantino qui excelle en tout point à raconter son western spaghetti en l'honneur de deux de ses cinéastes favoris, Sergio Leone et Sergio Corbucci, pères de ce sous-genre. Le cinéaste, épaulé par un casting première classe, rend une copie soignée qui souffre seulement par quelques détails mineurs mais qui brille par son histoire, ses personnages et sa mise en scène. Tarantino est de retour et ça fait du bien !


Affiche du Django de 1966

Chanson mémorable du film de Corbucci

[corwin34Membre de Stormwatch]

Mister B!! c'est comme si tu avait lu dans mes pensées et retranscrit se que je voulais dire sur le film!!
Rien a ajouter!!

[dumbMembre de la Ligue des Assassins]

Quelqu'un a été voir Zero Dark Thirty ? Je l'ai vu hier en V.O et j'ai vraiment adoré.
Un film sur la traque de Ben Laden, qui retrace la difficile collecte des informations, les différents attentats qu'on a connu après le 9/11 et le travail des agents américains pour retrouver Ben Laden. J'ai appris un tas de choses. C'est hyper-réaliste, surtout lors des interventions militaires, j'ai été bluffé.

C'est pas un film d'action bête, où tu vois de la baston toutes les 2 minutes, c'était vraiment très intéressant et l'assaut est juste incroyable.
C'était pas facile de traiter un sujet comme la traque de Ben Laden et sa fin, mais là c'est très sobre et loin des cliché pro-américains. Un excellent film.

Et puis, Jessica Chastain ...

[Mister BAdmin-Man]

Film vu, film commenté :
Zero Dark Thirty, mort aux ennemis de la liberté !

En voici un sacré morceau par bleu ! Par où pouvons-nous commencer ? Autant vous avouez que ce fut bien cette controverse qui enfle aux États-Unis autour de ce long métrage qui titilla ma curiosité. C'est donc fort de curiosité acquise que je m'engouffra dans une salle obscure, afin de découvrir de quoi il en était question.
Le générique tombe, en voie-off, les lamentations et la peur de milliers de personnes innocentes victimes de l'une des plus grandes catastrophes humaines de l'Histoire. Suivent les cris d'un terroriste torturé, victime des dérives autoritaires d'une nation sous le choc et en proie à la terreur. Le cœur de la polémique enfle d'ailleurs autour de cette première partie où les scènes de torture se suivent, de plus en plus froides. Sans aucunes prises de position, la réalisatrice nous montre l'odieux travail de la CIA. Des images crues qui révèlent un pan honteux de l'Histoire de la glorieuse patrie américaine. Mais loin de me révolter, cette vision qu'offre Bigelow n'est pas à mes yeux à condamner, je la trouve au contraire raisonnée, laissons le spectateur réfléchir et prendre parti dans ce film qui se veut être un quasi-documentaire. En toute sincérité, cette page sombre m'a toujours fait ressentir en moi une honte profonde, mêlée néanmoins à une certaine compréhension morbide qui ne justifie pas pour autant ces actes atroces.
Mais le film ne s'arrête pas à ces scènes d’interrogatoire éprouvantes, il suit en réalité le baptême du feu d'une jeune femme, Maya (ravissante Jessica Chastain), qui a fait de la traque de Ben Laden son cheval de bataille pendant douze longues années. C'est donc durant plus de deux heures que l'on découvre sa fascinante enquête, son incroyable traque contre les ennemis de la liberté. Ses moyens pour y arriver sont discutables mais sa détermination et son courage sont incontestables. Loin du standard du action-man américain (ou plutôt action-lady pour être exact), elle nous montre qu'elle a ses failles et ses casseroles à traîner mais que ce ne sont que plus de raisons pour trouver l'un des plus diaboliques meurtriers de l'Histoire.
Zero Dark Thirty, nous emmène comme je le disais dans les méandres de cet enquête et c'est toujours avec cette œil documentaire que Bigelow le fait. La frontière vers un patriotisme risible à la Roland Emmerich est mince, mais jamais au cour de son film, elle ne la franchira. Ce qui est en soit remarquable. En effet il faudrait plus couronner son objectivité plutôt que de critiquer son manque de subjectivité. Cette rigueur se remarque le plus dans le climax, Ben Laden est retrouvé, on sait où il se cache, il n'y a plus qu'à l'en sortir par tous les moyens. C'est donc cette fantastique opération militaire racontée caméra à l'épaule qui fait office de conclusion. Et c'est alors à nous, spectateur, de nous imposer nos limites entre le bien et le mal, entre ce qui était indispensable et ce qui pourrait paraître pour d'autres un inqualifiable meurtre.
En somme, pour toutes ces raisons, c'est un brillant film d'espionnage et film de guerre, la mise en scène bien qu'académique sied bien à l'histoire. Ce quasi docu-fiction nous plonge dans l'une des plus fascinantes chasse à l'homme de l'Histoire sans complaisance ou condamnation ;juste un exposé, diablement prenant et passionnant, de faits résultant d'un évènement qui marquera pour longtemps encore une nation qui ne s'en remettra jamais complètement.

[osgiliatEternel]

Wow!!quel critique ca donne envie grave!!!

[osgiliatEternel]

Pour faire plaisir a Mister B,qui a plus qu'adoré Django Unchained,voici une galerie
special Tarantino,regroupant le casting,pour la promo,mais avec classe!

Spoiler:

[Mister BAdmin-Man]

Merci Osgi ^^
Tu ne les as toujours pas vues ? Ralala ...

The Haunting, aux confins de la folie

M’étant enfin procuré le DVD de ce bijou signé Robert Wise (The Day the Earth Stood Still (1951) ;The Sand Pebbles (1966)), je n'ai pu m'empêcher de me délecter à nouveau devant. C'est en effet un des meilleurs films de fantôme de tous les temps.
The Haunting narre l'expérience menée par le Dr Markway (Richard Johnson) sur les esprits dans une terrifiante et imposante demeure réputée hantée. Pour ce faire il invite à ses côtés Eleanor (Julie Harris) et Theo (Claire Bloom) dans la bâtisse, ainsi que le neveu de la propriétaire, Luke (Russ Tamblyn). C'est donc tout en subtilité et en questionnements que l'on nous embarque dans un voyage vers la peur.
Ici, il n'est aucunement question d'effets spéciaux kitsch à souhait, non, ici il est question d'une pure horreur psychologique. La mise en scène ingénieuse et innovante pour l'époque – avec ses mouvements de caméra et ses angles de prise de vue – sert à elle seule à nous terrifier. A aucun moment nous ne rencontrons ces esprits, à aucun moment nous n'avons la preuve qu'ils existent. En effet, les faits semblent tous être explicables, mais le sont-ils vraiment ? C'est en permanence ce questionnement qui torture nos sens et ceux des personnages. Aussi, comme dirait le Dr Markway, « A closed mind is the worst defense against supernatural », il nous aura prévenu !
Mais ces fantômes ne sont pas les seuls choses angoissantes, c'est également cette plongée dans la psyché fragile d'Eleanor – incarnée à merveille par Julie Harris parfaite dans son rôle – dans son long chemin vers la folie. La peur, la mort de sa mère, cette maison qui l’obsède la mènera dans des confins d'épouvantes où nous sommes les seuls témoins impuissants et pétrifiés. La terreur va crescendo, les vingt dernières minutes sont les plus angoissantes, les plus prenantes, votre rétine reste collée à l'écran espérant que tout ceci cesse et là le drame final intervient, implacable ! Jusqu'à la dernière minute nous nous demanderons ce qui s'est passé dans cette maison sans trouver de réponses suffisamment rassurantes.
Que Saw, Hostel, The Hills Have Eyes et tout ces films au gore écœurant au goût douteux aillent au diable, la vraie horreur se trouve dans The Haunting, dans ces films à atmosphère, dans ces plongées dans l'esprit des dérangés, dans ces visites de maisons. Wise nous gâte réellement avec l'un de ses meilleurs film, l'un de ses plus inventif et mémorable. Ne vous faites pas avoir le titre VF, c'est bien un must, un incontournable pour tous les fans de The Others (2001) et compagnie...

[osgiliatEternel]

Et non pas vu pourtant t'imagines pas comme j'aimerais les voir,mon bambin et le boulot font bien les choses,et oui etre papa c'est du taf,lol!pas grave heureusement que le Bluray existe

[Mister BAdmin-Man]

Et non pas vu pourtant t'imagines pas comme j'aimerais les voir,mon bambin et le boulot font bien les choses,et oui etre papa c'est du taf,lol!pas grave heureusement que le Bluray existe

C'est vrai mais c'est le genre de film à voir sur grand écran !
Quittes ton boulot au pire ! :mrgreen:

Allez je suis tellement en forme pour raconter mes impressions sur les films en ce moment, que je lance une tentative de [url=blog][/url], où j'y posterais ce que j'intitule mes impressions cinématographiques.
Dites-moi, ce que vous en pensez ?

[Mister BAdmin-Man]

Ma première critique 100% inédite postée sur le blog :
http://impressions.cinematographiques.o ... %282012%29

[osgiliatEternel]

C'est en voyant le film d'Animation Les Indestructibles,que Tom Cruise tenait
absoluement a tourner avec le realisateur du film Pixar.De part l'energie que dégagait ce film
et les multiples séquences d'anthologie qui le parcourait.Il voulait que le prochain Mission
Impossible dégage le même dynamisme.Le film est une reussite flagrante mais pour ce faire
le realisateur a du abandonner beaucoup de scénes pour rendre le film aussi fluide que possible.

[osgiliatEternel]

Une sublime affiche realisé par Michael Butkus pour le film Django Unchained.

[BenjaamanLegionnaire]

Je l'ai vu tien avant-hier soir. Je l'ai trouvé vraiment bien

J'ai été content de voir Di Caprio en méchant et Foxx tout court. Watts (il me semble, l'autre chasseur de prime) est égal à lui même excellent. D'ailleurs je trouve qui ressemble à Fabrice Luchini.

Très bon moment mon meilleur film de cette année !!! Bon ok c'est le seul que j'ai vu cette année. mais ça va vite changé avec HAPPINESS THERAPY

[Mister BAdmin-Man]

Je l'ai vu tien avant-hier soir. Je l'ai trouvé vraiment bien

J'ai été content de voir Di Caprio en méchant et Foxx tout court. Watts (il me semble, l'autre chasseur de prime) est égal à lui même excellent. D'ailleurs je trouve qui ressemble à Fabrice Luchini.

Très bon moment mon meilleur film de cette année !!! Bon ok c'est le seul que j'ai vu cette année. mais ça va vite changé avec HAPPINESS THERAPY

Tu l'as toujours pas vu ?
Jennifer Lawrence

Voici en tout cas ce que j'en pense :
Ce film présente une comédie romantique des plus sympathiques à admirer. Ce n'est certainement pas un bijou ou un incontournable mais il vaut la peine d'être vu et d'être apprécié comme tel.
L'histoire est donc très simple. Pat (Brad Cooper) se remet difficilement de sa dépression suite à la rupture avec son épouse et à la perte de son boulot. Il tente donc de se reconstruire en retournant vivre chez ses parents, ne perdant pas pour autant l'espoir de renouer avec son ex. C'est un jour qu'il rencontre chez des amis, Tiffany (Jennifer Lawrence) [...]
La suite c'est ici :
http://impressions.cinematographiques.o ... y,-2012%29

[osgiliatEternel]

je sais que ça risque d'en interesser plus d'un,voici un Making Of assé sympa
de Django Inchained,si vous étes curieux de voir comment se déroule un tournage
chez Tarantino

[osgiliatEternel]

On poursuit avec les making Of,sur le tournage
de Katherine Bigelow,la realisatrice de Zero Dark Thirty,qui revient
sur la maniére de realisé l'assau final du film et les differente methodes
des Naviy Seals

[osgiliatEternel]

Kiss Kiss Bang Bang est un film incroyable,un film comme on en fait plus.
Un petit miracle de narration,que dis-je un vrai tour de magie.C'est le film qui
aura remis sur les railles la Carriere en dent de scie de Robert Downey Jr,le film
qui aura demontré egalement que les talents d'acteur de Val Kilmer n'etaient pas de
l'esbrouffe et surtout c'est le film qui démontre egalement le sens aigu du recit
pour Shane Black.C'est un film d'action étrange souvant Drôle et aussi Violent.
il ya des tas de scenes cultes et en fait Kiss Kiss Bang Bang est l'un de mes films
favoris,voici la Bande Annonce,à regarder les yeux Grand ouvert,lol.

[BenjaamanLegionnaire]

Le monde fantastique d'Oz, Navet

[Mister BAdmin-Man]

Rooh, je n'ai pu m'empêcher de revoir The Party !
Je connaissais déjà Blake Edwards avec le brillant Breakfast at Tiffany's, ma comédie favorite, mais je vous avoue que je n'avais pas cherché plus loin. Récemment sur arte, The Great Race fut diffusé, malgré la prestation géniale de Jack Lemmon, je dois dire que j'ai trouvé ce film longuet et décevant !
Voilà, je me demandais si vous n'aviez pas une petite sélection de films de Blake Edwards à me conseiller dans la veine The Party ou Tiffany's ?

[PipoEternel]

Tu as la série des Panthère Rose où Sellers est super drôle.
A propos de The Great Race, c'est le film qui a inspiré le dessin animé "Les fous du Volant"avec Satanas et le chien Diabolo.... Tony Curtis transformé en Pierre de Beaufix et Nathalie Wood en Pénélope Jolicoeur....

[Mister BAdmin-Man]

Tu as la série des Panthère Rose où Sellers est super drôle.
A propos de The Great Race, c'est le film qui a inspiré le dessin animé "Les fous du Volant"avec Satanas et le chien Diabolo.... Tony Curtis transformé en Pierre de Beaufix et Nathalie Wood en Pénélope Jolicoeur....

Ah oui, cette fameuse série des Panthère rose, tu en as des chouchous ?
Oui, j'adorais ce DA petit ! ::

[osgiliatEternel]

Je viens tout juste de regarder Scott Pilgrim Vs The World,et je ne m'en remet toujours pas.Non seulement de ce que j'ai vu,mais surtout,surtout pourquoi je suis passer à coter de ce film, que dis, de cette OVNI cinématographique.Scott Pilgrim ne se raconte pas,enfin ci,mais raconter la trame ne rendrait pas justice à tout ce que le film véhicule comme Univers.C'est un film qui se vie,qui parlera aux Gamers ,aux Geeks,aux amoureux egalement,car sous ces airs de film complétement dingue d'une folie indescriptible,c'est d'amour dont il est question.Raconté de façon peu conventionnel mais qu'importe le film est tellement grand,que l'on sort bouleverser de cette projection.Scott Pilgrim mérite d’être vu et revu pour découvrir toute les références dont il parle avec une classe incroyable.Vous aimer le Cinéma,les Super-héros,les Jeux Vidéos,les personnages complétements fou,les situations burlesques,le cinéma d'action,la comédie,la romance,bref vous aimez voir un film qui ne ressemble à rien de ce que vous avez déjà vu.Regardez Scott Pilgrim Vs The World,vous allez adorer.Et moi je me mords encore les doigt de ne pas avoir vu ça au Cinéma!

Spoiler:

[osgiliatEternel]

Un Making Of de 23 Min qui va faire plaisir aux Cinéphiles et aux amateurs de Stanley Kubrick
puisqu'il est question de 2001 l'Odyssée de L'espace.Il fallait cela pour décortiquer un film déjà
lunaire et vraiment très étrange dans son finale ou encore aujourd'hui ne ne suis pas sur d'avoir
réellement tout compris.

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