- fred le mallratAdmin-Man
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Comment je suis devenu super-héros
Mon 12 Jul 2021 - 10:52
9 juillet 2021 / 1h 37min / Fantastique, Action, Aventure, Drame, Science fiction
De Douglas Attal
Par Douglas Attal, Mélisa Godet
Avec Pio Marmai, Leïla Bekhti, Vimala Pons
Paris 2020. Dans une société où les surhommes sont banalisés et parfaitement intégrés, une mystérieuse substance procurant des super-pouvoirs à ceux qui n’en ont pas se répand. Face aux incidents qui se multiplient, les lieutenants Moreau et Schaltzmann sont chargés de l’enquête. Avec l’aide de Monté Carlo et Callista, deux anciens justiciers, ils feront tout pour démanteler le trafic. Mais le passé de Moreau ressurgit, et l’enquête se complique...
Comment je suis devenu super-héros est adapté du roman homonyme de Gérald Bronner, également co-scénariste sur le long métrage.
- fred le mallratAdmin-Man
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Re: Comment je suis devenu super-héros
Mon 12 Jul 2021 - 10:54
ca se regarde mais un peu comme la série policiere du vendredi soir.
C est pas une comedie mais .. c est pas un polar mais. et ne fait c est pas du superheros mais ni de la romance mais..
c est un peu tout et un peu rien.
Bref j y a i jamais cru même si ca se regarde simplement.. c est pas abouti
C est pas une comedie mais .. c est pas un polar mais. et ne fait c est pas du superheros mais ni de la romance mais..
c est un peu tout et un peu rien.
Bref j y a i jamais cru même si ca se regarde simplement.. c est pas abouti
- Moon KnightModo-Man
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Re: Comment je suis devenu super-héros
Tue 13 Jul 2021 - 8:57
Je ne sais pas si ca veut serieux, mais, avec tout le respect que j ai pour le talent de Poelvoorde, je ne l imagine franchement pas dans ce genre de production...
- phebuscockerMembre des Thunderbolts
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Re: Comment je suis devenu super-héros
Tue 10 Aug 2021 - 19:44
Un petit film sympatoche. Il y a du bon et du moins bon. Parmi les points faibles une histoire banale. En effet si on remplace ce trafic de super-pouvoirs par un "banal"deal de drogue on pourrait se croire devant un polar des plus classiques. Le flic marginal, le patron casse-couille, la nouvelle collègue... On est sur des sentiers bien balisés. Le tout bien ancré dans notre société au travers de reportage issus de chaines info (BFM et CNEWS, ce qui a visiblement traumatisé Wisdom) ou de vidéos de classement des super-héros les plus populaires extraits de youtube.
La réalisation reste également assez académique. Les effets spéciaux tiennent la route. En terme de musique rien de bien notable. On reste hélas dans la moyenne des productions françaises.
Le casting par contre est le point fort du film. Pio Marmaï est comme à son habitude très bon (je vous recommande d'ailleurs En Liberté de Pierre Salvadori, loin des écueils habituels des comédies françaises). Vimala Pons n'a certes pas un rôle à la hauteur de ceux que lui à offert Peretjatko mais ça va. Leïla Bekhti est toujours aussi convaincante et Poelvoorde offre une bonne prestation en faisant preuve de retenue. Swann Arlaud joue un perso bien trop caricatural pour faire preuve de son talent habituel.
Que peut on en retenir ? Tout d'abord la frilosité des producteurs. En effet le livre ici adapté raconte l'histoire d'un super-héros quinqua dépressif qui doit faire face au vampire de New-York, tueur en série qui s'en prend aux détenteurs de pouvoirs. Personne n'a voulu produire ce film sans "l’alléger"un peu. Et même là ce fut un chemin de croix pour Attal car "en France on ne fait pas de films de super-héros"... D'ailleurs le film fut repoussé en raison du confinement et le distributeur c'est empressé de le revendre à Netflix, n'ayant jamais vraiment cru au film.
Ensuite on à la fois des éléments intrigants qui donne envie d'en savoir plus sur cet univers et comment il fonctionne et d'un autre côté une accumulation de poncifs du genre pour que le spectateur lambda de fictions policières française ne soit pas sans repères... Ce qui est pour moi incompatible avec un programme de qualité. Qui sait, si le film est un succès (dans le système très opaque de Netflix) peut être que le réalisateur pourra envisager une suite avec, non pas plus d'ambition (car il en avait à la base ) ou de moyens (il n'a jamais, et heureusement, cherché à rivaliser avec les blockbuster), mais simplement un peu plus de liberté dans le ton. Un univers bien ancré, un ton peut être plus sombre mais surtout débarrassé des codes habituels, et on pourrait espérer quelque chose de plus singulier. Plutôt qu'un long métrage "Section de recherche"produit par Europacorp.
La réalisation reste également assez académique. Les effets spéciaux tiennent la route. En terme de musique rien de bien notable. On reste hélas dans la moyenne des productions françaises.
Le casting par contre est le point fort du film. Pio Marmaï est comme à son habitude très bon (je vous recommande d'ailleurs En Liberté de Pierre Salvadori, loin des écueils habituels des comédies françaises). Vimala Pons n'a certes pas un rôle à la hauteur de ceux que lui à offert Peretjatko mais ça va. Leïla Bekhti est toujours aussi convaincante et Poelvoorde offre une bonne prestation en faisant preuve de retenue. Swann Arlaud joue un perso bien trop caricatural pour faire preuve de son talent habituel.
Que peut on en retenir ? Tout d'abord la frilosité des producteurs. En effet le livre ici adapté raconte l'histoire d'un super-héros quinqua dépressif qui doit faire face au vampire de New-York, tueur en série qui s'en prend aux détenteurs de pouvoirs. Personne n'a voulu produire ce film sans "l’alléger"un peu. Et même là ce fut un chemin de croix pour Attal car "en France on ne fait pas de films de super-héros"... D'ailleurs le film fut repoussé en raison du confinement et le distributeur c'est empressé de le revendre à Netflix, n'ayant jamais vraiment cru au film.
Ensuite on à la fois des éléments intrigants qui donne envie d'en savoir plus sur cet univers et comment il fonctionne et d'un autre côté une accumulation de poncifs du genre pour que le spectateur lambda de fictions policières française ne soit pas sans repères... Ce qui est pour moi incompatible avec un programme de qualité. Qui sait, si le film est un succès (dans le système très opaque de Netflix) peut être que le réalisateur pourra envisager une suite avec, non pas plus d'ambition (car il en avait à la base ) ou de moyens (il n'a jamais, et heureusement, cherché à rivaliser avec les blockbuster), mais simplement un peu plus de liberté dans le ton. Un univers bien ancré, un ton peut être plus sombre mais surtout débarrassé des codes habituels, et on pourrait espérer quelque chose de plus singulier. Plutôt qu'un long métrage "Section de recherche"produit par Europacorp.
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