Captain America par Rick Remender (toutes les éditions)
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- fred le mallratAdmin-Man
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Re: Captain America : Marvel Now!
Mer 31 Aoû 2016 - 19:41
accélération de parution.... pour arriver à Sam?
- BiggyMembre du Green Lantern Corps
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Re: Captain America : Marvel Now!
Jeu 1 Sep 2016 - 10:49
Quelle couv splendide !
- BiggyMembre du Green Lantern Corps
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Re: Captain America : Marvel Now!
Ven 7 Oct 2016 - 11:29
Tome 2 lu.
Avec des titres comme Thor, par Jason Aaron, les Avengers, par Jonathan Hickman, ou encore Deadpool par Gerry Duggan et Brian Posehn, Captain America par Rick Remender, du moins les premiers épisodes, est l’une des plus belles réussites signée Marvel Now !
Le scénariste nous prend par surprise, excluant notre héros dans une dimension hostile, lui adjoint un « fils » et tout cela sur plus de dix ans, là où seulement quelques minutes s’écoulent sur Terre ! Mais comment Captain America, de plus en plus usé, abimé, blessé, va-t-il pouvoir se sortir de ce chaos qu’est la Dimension Z d’Arnim Zola ?!
Accompagné d’un enfant qu’il a élevé comme son fils, Captain America a passé douze ans à fuir. Il a erré dans les terres désolées de la Dimension Z et lutté contre le virus Zola menaçant de le priver de son humanité. Mais l’heure est venue pour la Légende Vivante de riposter et contrecarrer les plans d’Arnim Zola une fois pour toutes.
Ce volume met fin à la première longue saga de la série écrite par Rick Remender (Uncanny Avengers) et illustrée par John Romita Jr et Klaus Janson.
(Contient les épisodes #6 à 10)
Douze ans ! Voilà douze ans que Captain America est bloqué dans la Dimension Z ! Son quotidien se résume à essayer de survivre une journée de plus. Entre tenter de fuir aux mutés d’Arnim Zola et lutter contre le virus imprégné au cœur de sa poitrine, les journées sont longues et difficiles pour notre héros.
Heureusement, il y a Ian, son fils ! Le seule rayon de lumière dans ses mornes journées, la seule personne avec qui il peut échanger, discuter, se remémorer des souvenirs. Il veut aussi, et surtout, être un meilleur père que le sien n’a été, et transmettre à Ian toutes ses valeurs, tout ce en quoi il croit.
Mais, usé comme il est, Captain America finit par perdre Ian, qui retombe entre les mains de Zola, qui s’empresse de le reconditionner pour le rabattre de son côté. Mais s’il récupère Léopold (Ian), il semble perdre la superbe Jet Black, sœur de Ian, qui tombe peu à peu sous le charme de Captain America et commence à croire en ce héros qui l’émoustille.
A bout de force, Steve Rogers va-t-il avoir la force de supporter les coups acharnés de son fils, d’entendre ses phrases assassines, va-t-il réussir à ramener Ian en lieu et place de Léopold ? Tout en devant repousser l’invasion de la Terre et l’annihilation de l’humanité par son ennemi de toujours : Zola ? Ou va-t-il recevoir l’aide de Jet Black ? Ou bien d’une autre personne ?
Rick Remender termine son premier, long, run (dix chapitres) sur Captain America d’une façon aussi tragique qu’il n’aura été surprenant et intéressant. Notre pauvre Steve Rogers s’en prend plein la tronche, tant au niveau des coups physiques que moraux. Nul doute que le héros va garder de sérieuses séquelles et blessures d’une telle aventure, qui rappelons le, si elle n’a duré moins d’une heure sur Terre, a été longue de plus de dix ans pour lui.
S’il est toujours plaisant de suivre un héros aussi charismatique et emblématique que Captain America, il est tout aussi intéressant et touchant de le voir ainsi, plus humain que super-héros, avec ses doutes, ses peurs, ses faiblesses. De le voir un peu plus comme nous finalement, il ne reste qu’un homme.
Graphiquement, comme pour le premier tome, je suis fan du travail de John Romita Jr, formidablement encré par Klaus Janson. Dans des décors apocalyptiques et effrayants, du moins peu rassurants, il nous propose un Captain America que l’on voir souffrir physiquement et moralement. Cela se voit sur son corps et se ressent sur son visage. Les émotions passent à merveille.
Bref, cette première saga de Rick Remender est un véritable petit bijou. Je ne suis pas un fan inconditionnel de Captain America, je commence seulement à me lancer dans ses grandes sagas du passé, mais avec Perdu dans la Dimension Z, je tiens un de mes arcs préférés sur le héros à la bannière étoilé. De l’action, de l’émotion, un final grandiose, que demander de plus ?
Avec des titres comme Thor, par Jason Aaron, les Avengers, par Jonathan Hickman, ou encore Deadpool par Gerry Duggan et Brian Posehn, Captain America par Rick Remender, du moins les premiers épisodes, est l’une des plus belles réussites signée Marvel Now !
Le scénariste nous prend par surprise, excluant notre héros dans une dimension hostile, lui adjoint un « fils » et tout cela sur plus de dix ans, là où seulement quelques minutes s’écoulent sur Terre ! Mais comment Captain America, de plus en plus usé, abimé, blessé, va-t-il pouvoir se sortir de ce chaos qu’est la Dimension Z d’Arnim Zola ?!
Accompagné d’un enfant qu’il a élevé comme son fils, Captain America a passé douze ans à fuir. Il a erré dans les terres désolées de la Dimension Z et lutté contre le virus Zola menaçant de le priver de son humanité. Mais l’heure est venue pour la Légende Vivante de riposter et contrecarrer les plans d’Arnim Zola une fois pour toutes.
Ce volume met fin à la première longue saga de la série écrite par Rick Remender (Uncanny Avengers) et illustrée par John Romita Jr et Klaus Janson.
(Contient les épisodes #6 à 10)
Douze ans ! Voilà douze ans que Captain America est bloqué dans la Dimension Z ! Son quotidien se résume à essayer de survivre une journée de plus. Entre tenter de fuir aux mutés d’Arnim Zola et lutter contre le virus imprégné au cœur de sa poitrine, les journées sont longues et difficiles pour notre héros.
Heureusement, il y a Ian, son fils ! Le seule rayon de lumière dans ses mornes journées, la seule personne avec qui il peut échanger, discuter, se remémorer des souvenirs. Il veut aussi, et surtout, être un meilleur père que le sien n’a été, et transmettre à Ian toutes ses valeurs, tout ce en quoi il croit.
Mais, usé comme il est, Captain America finit par perdre Ian, qui retombe entre les mains de Zola, qui s’empresse de le reconditionner pour le rabattre de son côté. Mais s’il récupère Léopold (Ian), il semble perdre la superbe Jet Black, sœur de Ian, qui tombe peu à peu sous le charme de Captain America et commence à croire en ce héros qui l’émoustille.
A bout de force, Steve Rogers va-t-il avoir la force de supporter les coups acharnés de son fils, d’entendre ses phrases assassines, va-t-il réussir à ramener Ian en lieu et place de Léopold ? Tout en devant repousser l’invasion de la Terre et l’annihilation de l’humanité par son ennemi de toujours : Zola ? Ou va-t-il recevoir l’aide de Jet Black ? Ou bien d’une autre personne ?
Rick Remender termine son premier, long, run (dix chapitres) sur Captain America d’une façon aussi tragique qu’il n’aura été surprenant et intéressant. Notre pauvre Steve Rogers s’en prend plein la tronche, tant au niveau des coups physiques que moraux. Nul doute que le héros va garder de sérieuses séquelles et blessures d’une telle aventure, qui rappelons le, si elle n’a duré moins d’une heure sur Terre, a été longue de plus de dix ans pour lui.
S’il est toujours plaisant de suivre un héros aussi charismatique et emblématique que Captain America, il est tout aussi intéressant et touchant de le voir ainsi, plus humain que super-héros, avec ses doutes, ses peurs, ses faiblesses. De le voir un peu plus comme nous finalement, il ne reste qu’un homme.
Graphiquement, comme pour le premier tome, je suis fan du travail de John Romita Jr, formidablement encré par Klaus Janson. Dans des décors apocalyptiques et effrayants, du moins peu rassurants, il nous propose un Captain America que l’on voir souffrir physiquement et moralement. Cela se voit sur son corps et se ressent sur son visage. Les émotions passent à merveille.
Bref, cette première saga de Rick Remender est un véritable petit bijou. Je ne suis pas un fan inconditionnel de Captain America, je commence seulement à me lancer dans ses grandes sagas du passé, mais avec Perdu dans la Dimension Z, je tiens un de mes arcs préférés sur le héros à la bannière étoilé. De l’action, de l’émotion, un final grandiose, que demander de plus ?
- BiggyMembre du Green Lantern Corps
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Re: Captain America : Marvel Now!
Sam 12 Nov 2016 - 12:43
Tome 3 lu.
L’arrivée de Rick Remender sur Captain America, lors de Marvel Now, n’aura pas été de tout repos pour notre héros au bouclier. Le scénariste n’hésite pas à envoyer Steve dans une Dimension Z tout droit sorti d’un cauchemar pour plus de dix ans ! Comment notre héros pourrait-il se remettre des drames qu’il a vécu là-bas, alors que sur Terre seulement quelques instants se sont écoulés ?
Rick Remender est le scénariste qui m’a permis d’entrer dans l’univers de Captain America, de m’attacher à ce personnage et ses valeurs. J’étais donc impatient de découvrir son travail sur le héros, mais sur notre Terre, dans notre réalité.
Durant son séjour dans la Dimension Z, Steve Rogers a vécu de nombreux drames. De retour dans notre ligne temporelle, le héros aurait bien besoin de repos. Hélas, il doit impérativement partir en mission car le super-soldat américain Nuke massacre des civils au Nrosvekistan. Captain America doit l’arrêter avant qu’il ne crée un incident diplomatique.
Carlos Pacheco (Age of Ultron) rejoint Rick Remender (Uncanny Avengers) dans ce nouveau chapitre des aventures de la Légende Vivante.
(Contient les épisodes #11 à 15)
Que les épreuves, que vient de traverser Captain America, ont été difficile ! Un homme normal ne pourrait pas se relever de telles blessures, qu’elles soient physiques et morales.
Alors que cela faisait plus de dix ans qu’il survivait avec Ian, son fils, et résistait au virus Zola lui bouffant le corps, Steve a vu son nouvel univers s’écrouler lorsque Zola parvint à retourner le cerveau de Ian ! Dans un final émotionnellement intense, pour ne pas dire insoutenable, alors que Ian récupère ses esprits, Sharon Carter débarque en sauveuse, abat Ian avant de se sacrifier en restant coincées dans la Dimension Z, alors que Steve parvient à s’enfuir avec Jet Black !
Dur retour à la réalité, non seulement il est le seul avoir vécu plus de dix ans, mais il vient de perdre son fils et l’élue de son cœur en quelques minutes. Si les blessures physiques sont facilement guérissables, grâce au S.H.I.E.L.D., Hank Pym ou encore Bruce Banner, ce n’est pas le cas des blessures psychologiques. D’autant que le héros un peu trop fier refuse, catégoriquement, de partager ce qu’il a vécu.
Heureusement, dans ces coups durs, il peut compter sur Sam Wilson, le Faucon, dans les bras duquel, Steve va pouvoir faire exploser sa peine. Il est surprenant de voir un telle scène. C’est vraiment une séquence très forte et intense émotionnellement, il est rare de voir le héros dans un tel état de détresse. Cela rend le personnage beaucoup, beaucoup plus humain, dans la continuité du travail de Rick Remender sur le personnage.
L’autre ancre pour l’empêcher de couler, c’est une nouvelle mission imposée par Maria Hill. Certes, Steve n’est pas en état, mais le Nrosvekistan est en proie au chaos à cause de Nuke ! Ce soldat est manipulé par un homme de l’ombre, lui faisant croire que les habitants de ce petit pays, fictif, d’Europe de l’Est jubile suite à la défaite des Etats-Unis et la mort de nombreux et valeureux soldats américains.
Ne voyant pas d’autres solutions, le S.H.I.E.L.D. envoi Captain America et met en place un blackout total des médias…
Ce nouvel ennemi de l’ombre est bien décidé à faire tomber le S.H.I.E.L.D. et l’arme médiatique semble être des plus dangereuse pour la principale police mondiale.
Graphiquement, nous retrouvons Carlos Pacheco, l’artiste est en petite forme et livre le minimum syndical. Ce n’est pas joli mais ce n’est pas moche non plus. On sent bien que l’artiste ne donne pas à fond et c’est franchement dommage, tant l’intrigue est bonne.
Bref, ce troisième tome de Captain America par Rick Remender pourrait donner l’impression de redescendre un peu en pression. Il n’en est rien ! Le scénariste nous propose un Captain America abattu, détruit moralement et surtout à bout ! Un Captain America qu’on n’a jamais vu et qui nous donne la chair de poule. Un Captain America qui ne semble pas être à même de protéger le monde de cette nouvelle menace qui se meut dans l’ombre !
L’arrivée de Rick Remender sur Captain America, lors de Marvel Now, n’aura pas été de tout repos pour notre héros au bouclier. Le scénariste n’hésite pas à envoyer Steve dans une Dimension Z tout droit sorti d’un cauchemar pour plus de dix ans ! Comment notre héros pourrait-il se remettre des drames qu’il a vécu là-bas, alors que sur Terre seulement quelques instants se sont écoulés ?
Rick Remender est le scénariste qui m’a permis d’entrer dans l’univers de Captain America, de m’attacher à ce personnage et ses valeurs. J’étais donc impatient de découvrir son travail sur le héros, mais sur notre Terre, dans notre réalité.
Durant son séjour dans la Dimension Z, Steve Rogers a vécu de nombreux drames. De retour dans notre ligne temporelle, le héros aurait bien besoin de repos. Hélas, il doit impérativement partir en mission car le super-soldat américain Nuke massacre des civils au Nrosvekistan. Captain America doit l’arrêter avant qu’il ne crée un incident diplomatique.
Carlos Pacheco (Age of Ultron) rejoint Rick Remender (Uncanny Avengers) dans ce nouveau chapitre des aventures de la Légende Vivante.
(Contient les épisodes #11 à 15)
Que les épreuves, que vient de traverser Captain America, ont été difficile ! Un homme normal ne pourrait pas se relever de telles blessures, qu’elles soient physiques et morales.
Alors que cela faisait plus de dix ans qu’il survivait avec Ian, son fils, et résistait au virus Zola lui bouffant le corps, Steve a vu son nouvel univers s’écrouler lorsque Zola parvint à retourner le cerveau de Ian ! Dans un final émotionnellement intense, pour ne pas dire insoutenable, alors que Ian récupère ses esprits, Sharon Carter débarque en sauveuse, abat Ian avant de se sacrifier en restant coincées dans la Dimension Z, alors que Steve parvient à s’enfuir avec Jet Black !
Dur retour à la réalité, non seulement il est le seul avoir vécu plus de dix ans, mais il vient de perdre son fils et l’élue de son cœur en quelques minutes. Si les blessures physiques sont facilement guérissables, grâce au S.H.I.E.L.D., Hank Pym ou encore Bruce Banner, ce n’est pas le cas des blessures psychologiques. D’autant que le héros un peu trop fier refuse, catégoriquement, de partager ce qu’il a vécu.
Heureusement, dans ces coups durs, il peut compter sur Sam Wilson, le Faucon, dans les bras duquel, Steve va pouvoir faire exploser sa peine. Il est surprenant de voir un telle scène. C’est vraiment une séquence très forte et intense émotionnellement, il est rare de voir le héros dans un tel état de détresse. Cela rend le personnage beaucoup, beaucoup plus humain, dans la continuité du travail de Rick Remender sur le personnage.
L’autre ancre pour l’empêcher de couler, c’est une nouvelle mission imposée par Maria Hill. Certes, Steve n’est pas en état, mais le Nrosvekistan est en proie au chaos à cause de Nuke ! Ce soldat est manipulé par un homme de l’ombre, lui faisant croire que les habitants de ce petit pays, fictif, d’Europe de l’Est jubile suite à la défaite des Etats-Unis et la mort de nombreux et valeureux soldats américains.
Ne voyant pas d’autres solutions, le S.H.I.E.L.D. envoi Captain America et met en place un blackout total des médias…
Ce nouvel ennemi de l’ombre est bien décidé à faire tomber le S.H.I.E.L.D. et l’arme médiatique semble être des plus dangereuse pour la principale police mondiale.
Graphiquement, nous retrouvons Carlos Pacheco, l’artiste est en petite forme et livre le minimum syndical. Ce n’est pas joli mais ce n’est pas moche non plus. On sent bien que l’artiste ne donne pas à fond et c’est franchement dommage, tant l’intrigue est bonne.
Bref, ce troisième tome de Captain America par Rick Remender pourrait donner l’impression de redescendre un peu en pression. Il n’en est rien ! Le scénariste nous propose un Captain America abattu, détruit moralement et surtout à bout ! Un Captain America qu’on n’a jamais vu et qui nous donne la chair de poule. Un Captain America qui ne semble pas être à même de protéger le monde de cette nouvelle menace qui se meut dans l’ombre !
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Re: Captain America : Marvel Now!
Dim 26 Mar 2017 - 11:43
Tome 4 lu.
Depuis son retour de la Dimension Z, Captain America a bien du mal à rentrer dans ses bottes. Notre héros n’est plus que l’ombre de lui-même. Et le pauvre Nuke a failli en faire les frais. Le vilain ne devant son salut qu’à l’arrivée in extrémis du Faucon. Cela dit cela n’aura pas servi à grand-chose…
Captain America va avoir fort à faire face à un nouvel ennemi qui ne cherche qu’une chose, détruire les Etats-Unis à travers le S.H.I.E.L.D. !
Avec l’aide du psychédélique Docteur Cérébulles, Clou de Fer est bien décidé à anéantir le S.H.I.E.L.D. Face à ces deux adversaires, Captain America n’aura pas le droit à l’erreur….
Steve Rogers se prépare à vivre le moment le plus difficile de sa carrière dans ces épisodes signés Rick Remender (Uncanny X-Force) et Nic Klein (Winter Soldier).
(Contient les épisodes #16 à 21)
Le tome s’ouvre avec une courte histoire sur la belle Jet Black. Cette dernière a de plus en plus de mal à vivre sur notre planète. Découvrant, petit-à-petit, que son père n’avait finalement pas tout à fait tort sur sa vision des humains. Le lecteur découvre, lui, à quel point l’attachement de Jet à Steve est véritable et sincère.
S’il est toujours plaisant de retrouver Jet, le personnage étant trop peu mise en avant, et étant une véritable béquille pour Steve pour le moment, il faut retourner à l’essentiel et la suite de la mort de Nuke. Le pauvre soldat a subi une triste fin en devenant une bombe, dévastant une partie de la base du S.H.I.E.L.D. où il se trouvait, tuant des centaines d’agents. Nous découvrons ensuite l’intérêt de la base de l’Essaim, cette dernière servait de prison à l’Arme Moins, une arme terrible devant servir à prendre le dessus sur Captain America, Wolverine et tous les autres super-héros résultant d’expériences scientifiques.
Le Docteur Cérébulles (oui, le nom est craignos…), un homme ayant le pouvoir, en sortant des bulles depuis un petit tuyau sur son front, de faire vivre ce qu’il souhaite à ses victimes. Ces ainsi qu’il retourne des agents du S.H.I.E.L.D. entre eux ! Une fois l’objectif atteint, c’est la mort. A moins… à moins d’avoir une force intérieure suffisamment forte pour se suicider dans « ce rêve ».
C’est à la demande d’Iron Nail (c’est moins ridicule que Clou de Fer en Français…) que tout cela se passe. Cet ancien agent du S.H.I.E.L.D., tiens une haine profonde pour son ancienne organisation, et les Etats-Unis en général. Il décide d’utiliser les armes secrètes du S.H.I.E.L.D. pour ternir l’image de ses deux adversaires. Le moral de Captain America n’était déjà pas au beau fixe, apprendre tout ce que le S.H.I.E.L.D. cache va en rajouter une violente couche.
Mais ce n’est pas l’aspect moral qui va prendre le plus grand coup chez notre héros ! Loin de là ! Rick Remender continu son travail de destruction du personnage. La perte de Ian, la perte de Sharon, ses difficultés à rendosser le costume, tout cela n’est rien comparé à ce que le scénariste, et Iron Nail ne lui préparent ! Pour le coup, Steve Rogers ne sera vraiment plus le même après cela, Rick Remender allant au bout de sa démarche, de façon surprenante et cruelle.
J’ai vraiment hâte de découvrir va pourvoir traverser cette épreuve. Sur les dernières cases, ils semblent vidé, complètement vidé. Si on se doute que le scénariste ne peut plus lui faire subir grand-chose, le travail sur sa psychologie promet d’être passionnante. Steve Rogers reste le personnage avec le plus de volonté, nous allons voir s’il a un point de rupture.
Graphiquement, le travail de Nic Klein est correct, fluide et plaisant à regarder. Cela reste, quand même, un style assez sombre et statique. Si cela correspond au rythme de la narration, j’aurais aimé un artiste plus « expressif » pour renforcer encore la nouvelle épreuve que traverse Steve Rogers.
Bref, une nouvelle fois, Rick Remender nous montre à quel point il est décidé à emmener Steve Rogers tout au fond du gouffre. Notre héros s’en prend plein la tête, et n’importe quel humain ne pourrait jamais se relever de telles épreuves. Une intrigue sombre et dure, qui montre à quel point Steve et le S.H.I.E.L.D. sont prêts à tout mais pas dans le même sens.
Depuis son retour de la Dimension Z, Captain America a bien du mal à rentrer dans ses bottes. Notre héros n’est plus que l’ombre de lui-même. Et le pauvre Nuke a failli en faire les frais. Le vilain ne devant son salut qu’à l’arrivée in extrémis du Faucon. Cela dit cela n’aura pas servi à grand-chose…
Captain America va avoir fort à faire face à un nouvel ennemi qui ne cherche qu’une chose, détruire les Etats-Unis à travers le S.H.I.E.L.D. !
Avec l’aide du psychédélique Docteur Cérébulles, Clou de Fer est bien décidé à anéantir le S.H.I.E.L.D. Face à ces deux adversaires, Captain America n’aura pas le droit à l’erreur….
Steve Rogers se prépare à vivre le moment le plus difficile de sa carrière dans ces épisodes signés Rick Remender (Uncanny X-Force) et Nic Klein (Winter Soldier).
(Contient les épisodes #16 à 21)
Le tome s’ouvre avec une courte histoire sur la belle Jet Black. Cette dernière a de plus en plus de mal à vivre sur notre planète. Découvrant, petit-à-petit, que son père n’avait finalement pas tout à fait tort sur sa vision des humains. Le lecteur découvre, lui, à quel point l’attachement de Jet à Steve est véritable et sincère.
S’il est toujours plaisant de retrouver Jet, le personnage étant trop peu mise en avant, et étant une véritable béquille pour Steve pour le moment, il faut retourner à l’essentiel et la suite de la mort de Nuke. Le pauvre soldat a subi une triste fin en devenant une bombe, dévastant une partie de la base du S.H.I.E.L.D. où il se trouvait, tuant des centaines d’agents. Nous découvrons ensuite l’intérêt de la base de l’Essaim, cette dernière servait de prison à l’Arme Moins, une arme terrible devant servir à prendre le dessus sur Captain America, Wolverine et tous les autres super-héros résultant d’expériences scientifiques.
Le Docteur Cérébulles (oui, le nom est craignos…), un homme ayant le pouvoir, en sortant des bulles depuis un petit tuyau sur son front, de faire vivre ce qu’il souhaite à ses victimes. Ces ainsi qu’il retourne des agents du S.H.I.E.L.D. entre eux ! Une fois l’objectif atteint, c’est la mort. A moins… à moins d’avoir une force intérieure suffisamment forte pour se suicider dans « ce rêve ».
C’est à la demande d’Iron Nail (c’est moins ridicule que Clou de Fer en Français…) que tout cela se passe. Cet ancien agent du S.H.I.E.L.D., tiens une haine profonde pour son ancienne organisation, et les Etats-Unis en général. Il décide d’utiliser les armes secrètes du S.H.I.E.L.D. pour ternir l’image de ses deux adversaires. Le moral de Captain America n’était déjà pas au beau fixe, apprendre tout ce que le S.H.I.E.L.D. cache va en rajouter une violente couche.
Mais ce n’est pas l’aspect moral qui va prendre le plus grand coup chez notre héros ! Loin de là ! Rick Remender continu son travail de destruction du personnage. La perte de Ian, la perte de Sharon, ses difficultés à rendosser le costume, tout cela n’est rien comparé à ce que le scénariste, et Iron Nail ne lui préparent ! Pour le coup, Steve Rogers ne sera vraiment plus le même après cela, Rick Remender allant au bout de sa démarche, de façon surprenante et cruelle.
J’ai vraiment hâte de découvrir va pourvoir traverser cette épreuve. Sur les dernières cases, ils semblent vidé, complètement vidé. Si on se doute que le scénariste ne peut plus lui faire subir grand-chose, le travail sur sa psychologie promet d’être passionnante. Steve Rogers reste le personnage avec le plus de volonté, nous allons voir s’il a un point de rupture.
Graphiquement, le travail de Nic Klein est correct, fluide et plaisant à regarder. Cela reste, quand même, un style assez sombre et statique. Si cela correspond au rythme de la narration, j’aurais aimé un artiste plus « expressif » pour renforcer encore la nouvelle épreuve que traverse Steve Rogers.
Bref, une nouvelle fois, Rick Remender nous montre à quel point il est décidé à emmener Steve Rogers tout au fond du gouffre. Notre héros s’en prend plein la tête, et n’importe quel humain ne pourrait jamais se relever de telles épreuves. Une intrigue sombre et dure, qui montre à quel point Steve et le S.H.I.E.L.D. sont prêts à tout mais pas dans le même sens.
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Re: Captain America : Marvel Now!
Jeu 20 Juil 2017 - 12:06
Tome 5 lu.
Quand on pense à Captain America ces dernières années, on pense forcément au run, excellentissime, d’Ed Brubaker ! Le scénariste était allé jusqu’à « tuer » le héros légendaire et le remplacer par celui qu’il avait fait revenir d’entre les morts, Bucky !
Il faudra, maintenant, se souvenir également, du run de Rick Remender ! Si Captain America ne meurt pas ici, il se retrouve avec un fils en étant perdu dix ans dans une dimension effroyable, et voilà que notre bon Steve se retrouve sans sérum du Super-Soldat dans le sang et se transforme en un vieux monsieur proche de la fin !
Privé du sérum du Super-Soldat, Steve Rogers est devenu un vieillard. C’est donc sans l’aide de Captain America que les Avengers doivent faire face à une invasion menée par Arnim Zola. Le Faucon et ses alliés réussiront-ils à protéger New York de l’offensive du scientifique nazi ?
Rick Remender (Uncanny Avengers) et Carlos Pacheco (Age of Ultron) concluent leur prestation de manière explosive !
(Contient les épisodes #22 à 25 et un extrait de Marvel 75th Anniversary Celebration)
Avec ce cinquième, et ultime tome, Rick Remender en termine avec son run sur Steve Rogers ! (Il n’en aura, cependant, pas fini avec Captain America !)
Dans sa dernière intrigue contre Iron Nail, dans sa terrible ambition de détruire le S.H.I.E.L.D. en révélant ses secrets les plus inavouables aux yeux du monde, de façon tragique, Steve Rogers a perdu le sérum qui faisait de lui Captain America ! Un prix à payer très lourd qui l’a transformé en un vieillard grabataire ! Le pire dans tout cela, c’est que l’opinion publique semble autant tenir rigueur des récents événements à Captain America qu’au S.H.I.E.L.D. ! La masse populaire ne sachant rien du terrible sacrifice !
Mais notre héros, comme la plèbe, ne vont pas avoir longtemps pour se plaindre ou se lamenter (bien que ce ne soit pas vraiment le genre du premier). En effet, venus de la Dimension Z, des hordes de mutés commencent à envahir notre monde ! Très vite suivis par Arnim Zola et sa base démesurément énorme ! Une menace plus urgente, attend notre vieil héros, puisqu’un homme masqué est à sa recherche ! Dans sa quête, il parvient à mettre en déroute Iron Man, Hulk et Thor !
Qui dit homme masqué, dit switch inattendu attendu. Et c’est donc le cas avec cet homme masqué, avec… Je n’en dirais pas plus !
Toujours est-il que nos héros se retrouvent avec un allié supplémentaire ! Et il ne sera pas de trop pour repousser cette invasion d’Arnim Zola ! Déjà que la menace du scientifique fou et nazi est impressionnante, elle le devient encore plus lorsque le lecteur comprend qu’il est de mèche avec un autre nazi célèbre : Crâne Rouge !
Le chaos est proche de s’installer sur Terre, et malgré son âge avancé et son état de vieillard, Steve Rogers se retrouve, malgré lui, au cœur de la défense de la Terre ! Une dernière mission des plus intenses émotionnellement, avant que le vieil homme ne transmette son bouclier à un autre héros…
Rick Remender conclut, de la plus belle façon qui soit, son travail sur Steve Rogers (même si je ne suis vraiment pas fan du personnage pour lui succéder, on est loin du charisme de Bucky et de l’impact de sa prise du bouclier !) Jusqu’au bout, tout en maintenant son charisme, Rick Remender nous propose un Steve Rogers plus sensible, plus « faible » émotionnellement, émotivement, psychologiquement. Un Steve Rogers plus proche de nous, plus humain, et du coup un Steve Rogers vers lequel on est beaucoup plus empathique. Ce qui lui arrive nous touche beaucoup plus facilement.
Du coup, on vit toutes ces aventures, beaucoup plus intensivement et partageons les souffrances du héros jadis inébranlable.
Graphiquement, le trio Carlos Pacheco, Paul Renaud et Stuart Immonen fonctionne à merveille. Je regrette, peut-être, des couleurs un peu trop pastelles et avec un peu trop de vert. L’ensemble ne fait pas naturel. Mais sinon, c’est absolument magnifique, rendant à merveille l’intensité des événements de cette ultime aventure.
Bref, Rick Remender aura, à sa façon (et quelle façon) réussi à marquer Captain America de son empreinte ! Nul doute que le run de Remender sera de ceux que l’on cite dans les runs qui ont marqué le personnage. Et cela aura commencé dès l’excellent « Perdu dans la Dimension Z » et la destruction psychologique du héros, pour se terminer avec cet excellent dernier arc et la destruction, cette fois-ci physique de Steve, plaçant le personnage dans un rôle inédit !
Quand on pense à Captain America ces dernières années, on pense forcément au run, excellentissime, d’Ed Brubaker ! Le scénariste était allé jusqu’à « tuer » le héros légendaire et le remplacer par celui qu’il avait fait revenir d’entre les morts, Bucky !
Il faudra, maintenant, se souvenir également, du run de Rick Remender ! Si Captain America ne meurt pas ici, il se retrouve avec un fils en étant perdu dix ans dans une dimension effroyable, et voilà que notre bon Steve se retrouve sans sérum du Super-Soldat dans le sang et se transforme en un vieux monsieur proche de la fin !
Privé du sérum du Super-Soldat, Steve Rogers est devenu un vieillard. C’est donc sans l’aide de Captain America que les Avengers doivent faire face à une invasion menée par Arnim Zola. Le Faucon et ses alliés réussiront-ils à protéger New York de l’offensive du scientifique nazi ?
Rick Remender (Uncanny Avengers) et Carlos Pacheco (Age of Ultron) concluent leur prestation de manière explosive !
(Contient les épisodes #22 à 25 et un extrait de Marvel 75th Anniversary Celebration)
Avec ce cinquième, et ultime tome, Rick Remender en termine avec son run sur Steve Rogers ! (Il n’en aura, cependant, pas fini avec Captain America !)
Dans sa dernière intrigue contre Iron Nail, dans sa terrible ambition de détruire le S.H.I.E.L.D. en révélant ses secrets les plus inavouables aux yeux du monde, de façon tragique, Steve Rogers a perdu le sérum qui faisait de lui Captain America ! Un prix à payer très lourd qui l’a transformé en un vieillard grabataire ! Le pire dans tout cela, c’est que l’opinion publique semble autant tenir rigueur des récents événements à Captain America qu’au S.H.I.E.L.D. ! La masse populaire ne sachant rien du terrible sacrifice !
Mais notre héros, comme la plèbe, ne vont pas avoir longtemps pour se plaindre ou se lamenter (bien que ce ne soit pas vraiment le genre du premier). En effet, venus de la Dimension Z, des hordes de mutés commencent à envahir notre monde ! Très vite suivis par Arnim Zola et sa base démesurément énorme ! Une menace plus urgente, attend notre vieil héros, puisqu’un homme masqué est à sa recherche ! Dans sa quête, il parvient à mettre en déroute Iron Man, Hulk et Thor !
Qui dit homme masqué, dit switch inattendu attendu. Et c’est donc le cas avec cet homme masqué, avec… Je n’en dirais pas plus !
Toujours est-il que nos héros se retrouvent avec un allié supplémentaire ! Et il ne sera pas de trop pour repousser cette invasion d’Arnim Zola ! Déjà que la menace du scientifique fou et nazi est impressionnante, elle le devient encore plus lorsque le lecteur comprend qu’il est de mèche avec un autre nazi célèbre : Crâne Rouge !
Le chaos est proche de s’installer sur Terre, et malgré son âge avancé et son état de vieillard, Steve Rogers se retrouve, malgré lui, au cœur de la défense de la Terre ! Une dernière mission des plus intenses émotionnellement, avant que le vieil homme ne transmette son bouclier à un autre héros…
Rick Remender conclut, de la plus belle façon qui soit, son travail sur Steve Rogers (même si je ne suis vraiment pas fan du personnage pour lui succéder, on est loin du charisme de Bucky et de l’impact de sa prise du bouclier !) Jusqu’au bout, tout en maintenant son charisme, Rick Remender nous propose un Steve Rogers plus sensible, plus « faible » émotionnellement, émotivement, psychologiquement. Un Steve Rogers plus proche de nous, plus humain, et du coup un Steve Rogers vers lequel on est beaucoup plus empathique. Ce qui lui arrive nous touche beaucoup plus facilement.
Du coup, on vit toutes ces aventures, beaucoup plus intensivement et partageons les souffrances du héros jadis inébranlable.
Graphiquement, le trio Carlos Pacheco, Paul Renaud et Stuart Immonen fonctionne à merveille. Je regrette, peut-être, des couleurs un peu trop pastelles et avec un peu trop de vert. L’ensemble ne fait pas naturel. Mais sinon, c’est absolument magnifique, rendant à merveille l’intensité des événements de cette ultime aventure.
Bref, Rick Remender aura, à sa façon (et quelle façon) réussi à marquer Captain America de son empreinte ! Nul doute que le run de Remender sera de ceux que l’on cite dans les runs qui ont marqué le personnage. Et cela aura commencé dès l’excellent « Perdu dans la Dimension Z » et la destruction psychologique du héros, pour se terminer avec cet excellent dernier arc et la destruction, cette fois-ci physique de Steve, plaçant le personnage dans un rôle inédit !
- fred le mallratAdmin-Man
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Re: Captain America : Marvel Now!
Dim 10 Mai 2020 - 14:21
Je me suis refais les Captain America de Remender et Spencer.
J avais un souvenir un peu fun de la periode Wilson de Remender mais c est un peu plus que cela.
En tout cas deux belles constructions.
Remender s'amuse à rendre à Rogers une blessure profonde.
D'abord, il le renvoie dans un monde qu'il ne connait pas "Le Dimension Z"et lui fait passer 11 ans là-bas puis lui fait perdre "sa famille", Sharon et Ian (Fils de Arnim Zola qu'il a élevé). Certes Romita est pas au top (et même certains épisodes sont ce qu'il a fait de moins bien), mais la saga est solide. cap revient avec Jet Black (fille de Zola) qui devra, elle aussi, s'adapter à un nouveau monde.
On voit en flashback des épisodes de l'enfance de Steve quand son père était alcoolique et sa mère qui l'a façonnée.
Le fond étant la paternité.. puisque Rogers et Arnim Zola fuient le modèle de leurs pères respectifs et se battent pour la paternité (inée ou acquis) de Ian. Jet et Ian, eux, cherchant à devenir eux même..
On part ensuite dans une intrigue qui ramène Nuke et dévoile l'arme moins Dr Cérébulles (ou Mindbubble), le supersoldat psychédélique au sérume coupé au LSD) et le Clou Rouge. Ils remettent en cause le SHIELD et utilisent Nuke pour le dicréditer et discréditer un mode de vie individualiste et occidental. Rogers est à la traîne, désorienté par la saga précédente. Falcon est réintroduit et développé à petit pas..
A la fin, Rogers perd son sérum et vieillit. C'est là que Zola revient.. Ian aussi (on savait qu'il avait survécu) avec Sharon qui l'a élevée (et a vieilli dans la dimension Z).
Sam devient le nouveau Cap.
Là, on a des ennemis qui ont un objectif que l'on peut comprendre mais le moyen est meurtrier. L'Arme moins est un concept intéressant qui vise à lutter contre le développement de l'arme plus et de trouver un moyen "humain"de tuer. Il emprisonne ses victimes dans un "rêve"qui leur apporte leur plus chers désirs et les tue. Ca rappelle pas mal les créations de Kirby dans les 70's par le coté foutraque.
Nick Klein donne de belles planches alors que Pacheco est très décevant.
Dans le relaunch, Remender envoie Sam contre l'hydra avec son partenaire Nomad (Ian Rogers). Il est épaulé en tant que back up par Rogers et Sharon.
On est un peu dans une position batmanienne avec Steve en tant que Alfred et Ian Rogers en Damian. En tout cas il y a aussi un aspect familial inédit dans Captain America mais qui fonctionne bien avec le couple Steve/Sharon, leur fils. Remender fouille aussi le rapport de Sam à son père et son frêre.
Les péripéties et les coups de théâtre sont nombreux (peut être trop), ca va hyper vite et ca s'arrête avec la mort supposée de Ian (qui revient dans la une mini Secret Wars mais plus depuis) et la révélation que Hydra a infiltré tous les supergroupes. Mais Secret Wars arrive..
La question qui relie les deux runs est celui de la confiance. La confiance entre un enfant et ses parents, la confiance en les institutions (les deux runs décrivent la longue agonie du SHIELD) et entre nous tous en fait...
Une belle periode que ces runs qui se sont retrouvés à devoir suivre Brubaker et coincés dans des polémiques...
J avais un souvenir un peu fun de la periode Wilson de Remender mais c est un peu plus que cela.
En tout cas deux belles constructions.
Remender s'amuse à rendre à Rogers une blessure profonde.
D'abord, il le renvoie dans un monde qu'il ne connait pas "Le Dimension Z"et lui fait passer 11 ans là-bas puis lui fait perdre "sa famille", Sharon et Ian (Fils de Arnim Zola qu'il a élevé). Certes Romita est pas au top (et même certains épisodes sont ce qu'il a fait de moins bien), mais la saga est solide. cap revient avec Jet Black (fille de Zola) qui devra, elle aussi, s'adapter à un nouveau monde.
On voit en flashback des épisodes de l'enfance de Steve quand son père était alcoolique et sa mère qui l'a façonnée.
Le fond étant la paternité.. puisque Rogers et Arnim Zola fuient le modèle de leurs pères respectifs et se battent pour la paternité (inée ou acquis) de Ian. Jet et Ian, eux, cherchant à devenir eux même..
On part ensuite dans une intrigue qui ramène Nuke et dévoile l'arme moins Dr Cérébulles (ou Mindbubble), le supersoldat psychédélique au sérume coupé au LSD) et le Clou Rouge. Ils remettent en cause le SHIELD et utilisent Nuke pour le dicréditer et discréditer un mode de vie individualiste et occidental. Rogers est à la traîne, désorienté par la saga précédente. Falcon est réintroduit et développé à petit pas..
A la fin, Rogers perd son sérum et vieillit. C'est là que Zola revient.. Ian aussi (on savait qu'il avait survécu) avec Sharon qui l'a élevée (et a vieilli dans la dimension Z).
Sam devient le nouveau Cap.
Là, on a des ennemis qui ont un objectif que l'on peut comprendre mais le moyen est meurtrier. L'Arme moins est un concept intéressant qui vise à lutter contre le développement de l'arme plus et de trouver un moyen "humain"de tuer. Il emprisonne ses victimes dans un "rêve"qui leur apporte leur plus chers désirs et les tue. Ca rappelle pas mal les créations de Kirby dans les 70's par le coté foutraque.
Nick Klein donne de belles planches alors que Pacheco est très décevant.
Dans le relaunch, Remender envoie Sam contre l'hydra avec son partenaire Nomad (Ian Rogers). Il est épaulé en tant que back up par Rogers et Sharon.
On est un peu dans une position batmanienne avec Steve en tant que Alfred et Ian Rogers en Damian. En tout cas il y a aussi un aspect familial inédit dans Captain America mais qui fonctionne bien avec le couple Steve/Sharon, leur fils. Remender fouille aussi le rapport de Sam à son père et son frêre.
Les péripéties et les coups de théâtre sont nombreux (peut être trop), ca va hyper vite et ca s'arrête avec la mort supposée de Ian (qui revient dans la une mini Secret Wars mais plus depuis) et la révélation que Hydra a infiltré tous les supergroupes. Mais Secret Wars arrive..
La question qui relie les deux runs est celui de la confiance. La confiance entre un enfant et ses parents, la confiance en les institutions (les deux runs décrivent la longue agonie du SHIELD) et entre nous tous en fait...
Une belle periode que ces runs qui se sont retrouvés à devoir suivre Brubaker et coincés dans des polémiques...
- Mister BAdmin-Man
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Re: Captain America : Marvel Now!
Lun 11 Mai 2020 - 16:06
Sa prestation souffre de longueurs, mais Remender a su relever le défi de succéder à Brubaker. Et par les thématiques abordées, par le souhait d'explorer d'autres facettes de la personnalité et du passé de Cap, il s'est admirablement acquitté de cette tâche. Pacheco succède à Romita, et après qui sont déjà les autres dessinateurs ?
- fred le mallratAdmin-Man
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Re: Captain America : Marvel Now!
Lun 11 Mai 2020 - 16:11
Nick Klein
- fred le mallratAdmin-Man
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Re: Captain America : Marvel Now!
Jeu 30 Juil 2020 - 8:50
CAPTAIN AMERICA 1
Auteurs : Remender, Romita Jr
Marvel Deluxe, 256 pages, 32,00 €
Le machiavélique Arnim Zola réussit à emprisonner Captain America dans la Dimension Z. Coupé du reste du monde, Steve Rogers doit survivre durant de longues années dans un monde apocalyptique. Rick Remender (Uncanny Avengers) et John Romita Jr (Avengers) emmènent l'Avenger étoilé là où il n'est jamais allé.
(Contient les épisodes US Captain America (2012) 1-10, publiés précédemment dans MARVEL NOW! : CAPTAIN AMERICA 1-2)
SORTIE LE 19 AOÛT
- phebuscockerMembre des Thunderbolts
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Re: Captain America : Marvel Now!
Jeu 30 Juil 2020 - 10:36
Quand je pense que je l'ai acheté 13€ dans la collection Hachette...
- Mister BAdmin-Man
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Re: Captain America : Marvel Now!
Jeu 30 Juil 2020 - 11:35
As-tu eu les dix parties de la saga à ce prix ?phebuscocker a écrit:Quand je pense que je l'ai acheté 13€ dans la collection Hachette...
- fred le mallratAdmin-Man
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Localisation : Bruges
Re: Captain America : Marvel Now!
Jeu 30 Juil 2020 - 14:49
oui
viewtopic.php?f=37&t=9858&start=350#p355051
Pareil pour warlock qui fait 26€ contre une intégrale à 35€
Y a du bon à ces collections hachette!
viewtopic.php?f=37&t=9858&start=350#p355051
Pareil pour warlock qui fait 26€ contre une intégrale à 35€
Y a du bon à ces collections hachette!
- EonMembre de Stormwatch
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Re: Captain America par Rick Remender (toutes les éditions)
Jeu 30 Juil 2020 - 17:03
Effectivement... Je n'en trouve jamais. On peut pas être sur tous les bons coups..
- phebuscockerMembre des Thunderbolts
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Re: Captain America par Rick Remender (toutes les éditions)
Ven 31 Juil 2020 - 11:58
tu peux les commander sur leur site même avec les frais de port c'est rentable !
- EonMembre de Stormwatch
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Re: Captain America par Rick Remender (toutes les éditions)
Ven 31 Juil 2020 - 12:18
Ah..? Merci, je vais voir ça !
- fred le mallratAdmin-Man
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Localisation : Bruges
Re: Captain America par Rick Remender (toutes les éditions)
Sam 1 Aoû 2020 - 10:45
Tu peux les commander au numeros ici
https://www.hachette-collections.com/fr ... m?show=792
sinon tu peux aussi aller chez ton marchand de journaux et commander au numero avec le numero MXXXX que je mets sur les threads dédiés:
viewtopic.php?f=37&p=366145#p366145
malheureusment peu de marchands de journaux acceptent...
https://www.hachette-collections.com/fr ... m?show=792
sinon tu peux aussi aller chez ton marchand de journaux et commander au numero avec le numero MXXXX que je mets sur les threads dédiés:
viewtopic.php?f=37&p=366145#p366145
malheureusment peu de marchands de journaux acceptent...
- EonMembre de Stormwatch
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Re: Captain America par Rick Remender (toutes les éditions)
Sam 1 Aoû 2020 - 20:14
Génial. Merci. Y'a plus qu'à...
- fred le mallratAdmin-Man
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Localisation : Bruges
Re: Captain America par Rick Remender (toutes les éditions)
Jeu 31 Déc 2020 - 11:42
CAPTAIN AMERICA 2 (MARVEL NOW!)
Auteurs : Remender, Pacheco, Klein
Marvel Deluxe, 384 pages, 34,00 €
Après avoir perdu des années de sa vie dans la Dimension Z d'Arnim Zola, Steve Rogers revient dans notre monde pour s'apercevoir que Nuke met le pays à feu et à sang. Qu'est-ce que le Clou de Fer ? La réponse pourrait coûter cher à la Légende Vivante !
(Épisodes US : Captain America (2012) 11-25 + Marvel's 75th Anniversary publiés dans MARVEL NOW! : CAPTAIN AMERICA 3-5)
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