Re: Power Girl : Un Nouveau départ

[LanvalDefenseur]

Il y aura combien de tomes à votre avis?

le série fait 4 TPB en VO

[BenjaamanLegionnaire]

Il y aura combien de tomes à votre avis?

Pour le moment il y a deux tomes de prévu. C'est noté juste au dessus

[BiggyMembre du Green Lantern Corps]

Il y aura combien de tomes à votre avis?

le série fait 4 TPB en VO

Merci Lanval^^

[shtmupMembre de Stormwatch]

Je viens de lire ce tome 1. C'était vraiment cool Bon l'histoire est quand même très simple, c'est super léger... Par contre on ne s'ennuie pas, c'est drôle, beaucoup d'action, les menaces s'enchaînent rapidement au fil des épisodes!

Amanda Conner est à l'aise aussi bien dans les scènes d'action que dans les scénettes intimistes ou humoristiques, franchement ses dessins sont quand même l'atout majeur de cette série

A la fin du volume il y a un épisode de Wonder Woman dessiné par Amanda Conner et sa Wondy est juste magnifique. Confiez lui la suite des WW New52 bordel!

A noter des petites références sympa comme l’apparition des personnages de

Spoiler:

Satisfait de cette lecture, c'est frais, c'est drôle et j'irai lire le second tome avec plaisir

[Mister BAdmin-Man]

Tu me donnes vraiment envie Shtmup ! Ce serait l'occasion de découvrir un nouveau perso !

[shtmupMembre de Stormwatch]

Oui je le recommande sans souci. Peut-être pas LE truc à acheter en priorité, mais ça mérite le coup d’œil clairement.

Au moins pour les dessins de Conner et pour le ton très rafraîchissant de la série

[LaurentChercheur à S.T.A.R. Labs]

Il y aura combien de tomes à votre avis?

le série fait 4 TPB en VO

Les 2 premiers sont par Justin Gray, Jimmy Palmiotti et Amanda Conner, ensuite l'équipe change avec Judd Winick et Sami Basri.

Urban ne va sortir que les 2 premiers.

A noter qu'il existe une mini-série "TERRA"par Justin Gray, Jimmy Palmiotti et Amanda Conner avec Power Girl et sa protégée, qui aurait tout à fait sa place dans cette collection.

C'est tellement frais et drôle que je les prends en VF alors que j'ai déjà la VO!

Par contre, je ne suis pas sûr que les jeunes lecteurs comprendront les références du volume 2. :;-):

[fred le mallratAdmin-Man]

je suis moins décu et moins dur.. car je continue.. et je revend pas.. mais globalement je suis d accord!
c est un peu décevant par rapport aux critiques lues ci et là.
mais du DC rigolo, qui se prend pas au serieux, pleins d actions, de vieux persos pas forcemement devenus tueurs fous.... c est quand même rare aujourd hui
et Amanda Conner fait merveille sur ce titre

[BiggyMembre du Green Lantern Corps]

Tome 1 lu...

Quelle surprise lorsque Urban Comics nous a annoncé la publication de la série Power Girl par Justin Gray, Jimmy Palmiotti et Amanda Conner. Grosse surprise car cela était totalement inattendue, et la surprise s’est vite transformée en impatience tant l’envie et le plaisir de découvrir un autre héros de DC Comics étaient grands. Il est plaisant de voir d’autre super-héros que les éternels Batman, Superman et autre Green Lantern, de temps en temps.
De plus, de Power Girl, je ne connaissais pas grand-chose, hormis ses origines, je m’étais alors contenté jusqu’alors de la voir dans quelques histoire de la Sociéte de Justice ou de Superman, et plus dernièrement dans des épisodes de Supergirl version New52. Bref, une très grosse envie de lire ce titre !

Membre de la Société de Justice d’Amérique, Karen Starr alias Power Girl aspire désormais à suivre sa propre voie en dirigeant sa propre compagnie. Mais un ennemi tenace de son passé contrecarre rapidement ses plans en prenant en otage Manhattan. Au même moment, un trio de séduisantes extraterrestres décide de prendre du bon temps en détruisant la Terre… (Contient les épisodes Power Girl : A New Beginning #1 à 6 + Fuzzy Logic in Wonder Woman #600)

Le début de cette série correspond avec le nouveau départ que veut prendre Karen sur notre Terre. Nous arrivons donc au meilleur moment ! Pour cela elle a décidé de racheter sa société Starrware Labs, se trouver un appartement et remplir son rôle de super-héroïne, tout en prenant soin de faire attention à la vie de son alter ego Karen Starr. Mais rien ne semble ne vouloir bien se goupiller.
Malgré toutes ses bonnes volontés et malgré l’équipe de choc qu’elle réunit au sein de société elle n’a pas d’argents dans les caisses pour pouvoir les payer ni même lancer de grandes campagnes de pub pour vendre les résultats de ses recherches. Ses visites d’appartements sont de véritables calvaires et la vie de Karen Starr est débordée par celle de Power Girl !
En effet, en six chapitres, Power Girl ne va pas chômer et se retrouver avec pas moins de trois menaces à affronter ! Au programme un combat d’une grande violence contre Ultra-Humanite (avec au passage un petit point sur ses origines) qui prend tout Manhattan en otage en échange du corps de la belle héroïne. Puis arrive une sorte d’éco-terroriste utilisant un grimoire magique pour détruire New-York avec des créatures d’Heroïc-Fantasy avant de devoir trois créatures, peu vêtues, de l’espace venue sur Terre pour faire la fête mais semant chaos et cadavres sur leur passage.

Autant le dire les neuf dixième de ce premier volume est condensé d’action, d’action et d’action ! Pas un moment de répit pour notre pauvre Power Girl qui se démène pour protéger sa ville. Ce qui laisse peu de temps à Karen pour souffler, mais ces rares moments en « civil » sont l’occasion à pas mal d’humour, que ce soit au cinéma avec la loufoque Terra, avec son chat, ou encore lors des entretiens d’embauches dans sa société. Et ces moments sont surtout l’occasion de voir Karen Starr, terriblement sexy, se dévêtir pour se changer en Power Girl. Et il faut bien reconnaître que si c’est sympa une fois, cela devient très vite répétitif. Comme les allusions salaces au physique de Power Girl.

Si les ennemis sont variées, si les résolutions des arcs sont originales, si l’action est omniprésente, on ne peut s’empêcher à la fin de ce volume de ce dire « Et ? » Car nous assistons au final à des histoires, bien que loufoques, qui se suivent et n’apportent pas grand-chose au développement de Power Girl, à l’inverse des rares interludes « Karen Starr ». On en vient presque à regretter ce trop plein d’action au détriment d’une véritable histoire à suivre. La vie de Karen Starr, malgré son peu de visibilité dans ce tome est plus drôle et plus intéressant. La narration, qui essaie de nous surprendre avec la résolution des intrigues, suit malheureusement très souvent le même schéma. On ne peut s’empêcher de sentir alors une petite monotonie due à la répétition se mettre en place. Et pourtant j’aurais tellement aimé être fan de ce tome, pour inciter Urban Comics à récidiver ce genre d’initiatives.

Graphiquement, Amanda Conner nous offre une prestation de grande qualité, bien que jouant beaucoup sur le côté sexy de Power Girl, dans un style assez cartoony, assez délirant, et pourtant ses visages sont d’une très grande expressivité ! C’est vivant et très rythmé, mais quelques approximations quand les actions s’enchainent ou lors des combats. Le tout merveilleusement mis en couleur par Paul Mounts.

Bref, il est indéniable que ce premier tome de Power Girl est plaisant à lire. On passe un bon moment, c’est bourré d’action, sans temps mort et avec des dessins sexys et drôles. Cependant une fois la lecture terminée on en retient pas grand-chose, aussi vite oublié que lu.

Vous me donnez vraiment envie malgré certaines critiques en demi-teintes. J'ai besoin de comics pop-corn joliment illustrés! Ça me parait un bon choix de ce coté là... Pis bon, il me tentait depuis un moment...

[shtmupMembre de Stormwatch]

J'ai besoin de comics pop-corn joliment illustrés

Power Girl, c'est exactement ça

[JaunDefenseur]

Power Girl fait partie des rares comics qui ne sont pas pensés pour la publication en TPB. En singles, ses aventures sont hyper fun, mais en album il est vrai qu'il manque un enjeu global, un subplot solide.
En fait, il vaut mieux lire les histoires une à une en les intercalant entre de gros arcs trop sérieux à la Hickman...

[arruzielMidnight Son]

Power Girl est un des perso DC que j'aime beaucoup et qui à eu rarement même au USA sa propre série, pourtant je trouve que c'est un personnage qui a du potentiel. Je la préfère sans problème à toute les incarnation de Supergirl que j'ai toujours trouvé fadasses.
Power Girl et coriace, ne s'avoue jamais vaincu, c'est une vrai guerrière et surtout elle à un sacré caractère, c'est une forte tête et elle a de l'humour.
J'ai lu ce premier tome et je l'ai trouvé très bon, les dessins de Conner sont super, j'ai vraiment apprécié.

[fred le mallratAdmin-Man]

le 1er tome avait des hauts et des bas (pas trop bas)... il etait pas stable en terme d interet..
le 2eme est beaucoup plus coherent en qualité....
c est tres sympa, pop corn..
Prend le Wis

[Captain-SpideyDefenseur]

Boobs.

[SkratschEnvahisseur]

Oui, mais pas que.

[BiggyMembre du Green Lantern Corps]

Tome 2 lu.

Le premier tome de Power Girl avait été une belle surprise à bien des égards. En premier lieu, simplement par son existence, ce n’était clairement pas un titre que je m’attendais à voir débarquer, et je pense que je n’étais pas le seul dans ce cas là. Deuxièmement, de par le plaisir qu’il procurait à sa lecture, malgré un manque indéniable de profondeur et d’intérêt brut.
Ce fut donc avec un grand plaisir que je me suis procuré ce deuxième tome, espérant passer un tout aussi bon moment que lors du premier, avec une histoire fraîche, simple et pleine d’humour, le tout servi par de somptueux dessins et une magnifique colorisation. En espérant néanmoins un peu plus d’intérêt dans le scénario, histoire d’avoir quelque chose de plus concret.

Brillante businesswoman d’une part et protectrice de New York City de l’autre, Karen Starr, alias Power Girl, mène à la perfection sa double-vie mouvementée. Après avoir vaincu Ultra-Humanite, la jeune héroïne va à présent devoir affronter la colère de l’ex-petite-amie de ce dernier : Satanna. Bien déterminée à le venger, Satanna emploie tous les moyens à sa disposition pour arriver à ses fins : une arme kryptonnienne, et une armée des plus surprenante.
(Contient : Power Girl: Aliens and Apes – #7-12)

Alors le résumé d’Urban met en avant la vengeance de Satanna, mais il ne s’agit en vérité que d’une seule des trames principales de ce tome. A l’inverse du premier volume qui voyait se suivre plusieurs histoires, nous avons, ici, vraiment le droit à une sorte de saga sur deux axes qui dure tout au long des six chapitres. Le tout agrémenté de petites histoires annexes pour faire vivre tout ça !

Comme on pouvait s’en douter, après le traitement infligé à Ultra-Humanite, Satanna tient à se venger et n’hésite devant rien pour réussir à se débarrasser de Power Girl. Et si cela nous offre un chouette combat entre deux femmes, bien que Satanna soit aidée par une armée d’animaux humanoïdes du plus bel effet, et que notre pauvre Power Girl en prend pour son grade, ce qui ressort surtout c’est le côté malsain de Satanna. Autant je suis plutôt ouvert d’esprit, même très ouvert, autant je trouve que cette Satanna, dans un comics comme Power Girl et son ton plutôt frais, est en total décalage avec son côté « je couche avec des animaux dans une marre de sang », « je couche pour avoir une arme… » Et au final, cette partie de l’histoire est loin d’être la plus passionnante…

Car dans le même temps notre belle Karen va devoir se frotter à Vartox. Ce souverain de la planète Valeron, au look improbable du cowboy des Village People pourrait se résumer à l’esprit d’Austin Powers avec les pouvoirs de Superman ! Un mélange plus que douteux mais hautement savoureux !
Vartox, donc, au cours d’une bataille sur sa planète, voit ses ennemis utiliser une bombe stérilisante sur son peuple, ce qui aura pour effet, à terme, de voir son espèce disparaître. Pour remédier à cela il décide de « s’accoupler » à une « femelle » aussi puissante que lui, et son dévolu se tourne, comme vous pouvez vous en doutez, sur cette pauvre Karen Starr !
Et nous allons avoir droit à la scène de drague la plus beauf, la plus lourde, la plus ringarde et la plus misogyne qui soit ! Mais également, follement amusante et hilarante ! Nous avons le droit à des situations cocasses, à des dialogues savoureux et à une répartie de Power Girl jouissives ! Et au final, Justin Gray et Jimmy Palmiotti nous offre une sacrée surprise lorsque le fameux moment se présente !...

Beaucoup d’action et de rebondissements sous le costume de Power Girl et, malheureusement un peu moins de Karen Starr. Mais les rares moments en civil sont juste excellents ! Entre les mauvaises surprises qui forcent Karen à se changer en Power Girl à chaque fois qu’elle doit se rendre quelque part pour le travail, ou le fait de se rendre compte que son équipe « professionnelle » est formidable, ce sont de petites pauses dans l’action.
Et que dire du petit garnement qui va la mener par le bout du nez, après l’avoir pris en photo en train d’enfiler le costume de Power Girl. Son silence contre le fait qu’elle l’accompagne à un comics shop, se débarrasse des « grands » qui le rackette et l’aide à sortir avec son « amoureuse » ! Tellement loin de ce à quoi je m’attendais en découvrant ce « voyeur » dans le tome #1, mais tellement chou, tellement frais. Et on nous offre au passage une course poursuite dans les escaliers tout en subtilité, en comique de situation et qui ravira les yeux de ces messieurs ! Et Power Girl arrive toujours à régler tous ces événements avec un calme et une gentillesse désarmante ! C’est ce qui fait la force de Power Girl, au-delà de sa force brute, c’est la façon dont elle voit les gens et les conflits, pour Karen il n’y a pas de problèmes, que de multiples solutions, et toujours avec un sourire bouleversant.
N’oublions pas non plus l’amitié touchante et palpable entre Kara et la jeune Terra.

Et si ce sourire nous touche tant, c’est grâce aux dessins absolument magnifiques d’Amanda Conner. Des dessins vivants, donnant du rythme à l’histoire, expressifs, permettant aux émotions de se transmettre à merveille, cartoony, en rajoutant au comique de situation et véritablement sexy mais sans jamais tomber dans le vulgaire, toujours dans la légèreté, dans l’imagination, dans le sensuel. Avec des couleurs lumineuses et chatoyantes de Paul Mounts.

Bref, ce tome 2 reste dans la fraîcheur, dans l’humour, dans le comique, avec des situations de quiproquo hilarantes, des répliques piquantes et tordantes. Karen Starr est un personnage attachant, drôle et vivant. C’est un véritable plaisir de suivre ses aventures (et de les regarder^^) que ce soit en civil avec Karen Starr ou en super-héroïne avec Power Girl. Les histoires ne sont pas tortueuses et poussées comme dans du Batman mais offrent un bon moment de lecture, c’est simple, c’est drôle, c’est beau, et cela permet de prendre un petit bol d’air frais entre deux lectures plus sombres avec des histoires plus lourdes.

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