Marvel Heroes par Loeb et Sale (toutes editions)
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donuts
Mister B
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- Mister BAdmin-Man
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Marvel Heroes par Loeb et Sale (toutes editions)
Mer 14 Sep 2011 - 12:57
Réédition de :MARVEL ABSOLUTE : MARVEL HEROES
Auteurs : Jeph Loeb, Tim Sale
448 pages, 70,00 EUR, en librairie seulement
Chaque année, l’album ABSOLUTE est attendu par les fans avec autant d’impatience que l’arrivée du père Noël par les enfants. Cette année, le superbe volume regroupe toutes les sagas réalisées par le formidable tandem Jeph Loeb/Tim Sale. Au sommaire de cet imposant ouvrage, nous retrouverons les mini-séries Wolverine/Gambit: Victimes, Daredevil: Yellow, Hulk: Gray et Spider-Man: Blue. En plus : Captain America : White 0, l'épisode prologue à la mini-série du même nom, promise et attendue depuis longtemps.
(Contient les épisodes US Daredevil : Yellow 1-6 ;Spider-Man : Blue 1-6 ;Hulk : Gray 1-6 ;Captain America : White 0)
SORTIE LE 19 OCTOBRE !
-100% MARVEL DAREDEVIL 3
-100% MARVEL SPIDER-MAN 4
-100% MARVEL HULK 3
-COMIC BOX 57
-TOP BD 43
- donutsMembre de Nextwave
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Re: Marvel Absolute: Marvel Heroes
Mer 14 Sep 2011 - 20:25
angelangel321
- fred le mallratAdmin-Man
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Re: Marvel Heroes par Loeb et Sale (toutes editions)
Mer 13 Avr 2016 - 19:46
MARVEL ICONS : DAREDEVIL / SPIDER-MAN / HULK PAR LOEB/SALE
Auteurs : Jeph Loeb, Tim Sale
Daredevil : Jaune se concentre sur les aventures de Daredevil, lorsqu'il portait encore son costume jaune. L’intrigue de Spider-Man : Bleu se déroule au début du premier cycle de Spider-Man, quand le cœur de Peter Parker battait pour Gwen Stacy. Hulk : Gris s'inspire des premiers pas du personnage, lorsqu'il était encore gris et que seul Rick Jones connaissait la double identité de Bruce Banner.
448 pages, 36,00 EUR, en librairie seulement
(Contient les épisodes US Daredevil: Yellow 1-6, Spider-Man: Blue 1-6 et Hulk:Gray 1-6, publiés précédemment dans les albums 100% MARVEL: Daredevil JAUNE, SPIDER-MAN BLEU et HULK GRIS ainsi que dans le MARVEL ABSOLUTE : LES HEROS MARVEL)
SORTIE LE 4 MAI
- BiggyMembre du Green Lantern Corps
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Re: Marvel Heroes par Loeb et Sale (toutes editions)
Jeu 14 Avr 2016 - 12:04
Hâte de le lire.
- BagooorMembre de Stormwatch
- Messages : 1178
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Re: Marvel Heroes par Loeb et Sale (toutes editions)
Mar 19 Avr 2016 - 13:27
Dommage de proposer un Icon maintenant... ça sera reproposé d'ici quelques années avec Captain America intégré.
- BiggyMembre du Green Lantern Corps
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Re: Marvel Heroes par Loeb et Sale (toutes editions)
Mar 23 Aoû 2016 - 11:21
Avec cette série d’histoires, j’ai commencé par la fin, j’ai fait les choses à l’envers. Ma première lecture a été Captain America : White et cette touchante histoire d’amitié entre Steve et Bucky en pleine Seconde Guerre Mondiale. Il n’en aura pas fallu plus pour que je m’empresse de me jeter sur cet énorme Marvel Icons pour découvrir les trois histoires qui l’ont précédé ! Enfin, de me le faire offrir pour mon anniversaire.
Entre et, Jeph Loeb (Fallen Son : The Death of Captain America) et Tim Sale (Captain America : White) se sont intéressés aux origines de trois grands héros Marvel. Retrouvez Daredevil à l’époque où il était encore vêtu de jaune, Spider-Man lorsque son cœur battait pour Gwen Stacy et Bruce Banner juste après l’explosion de la bombe gamma.
(Contient : Daredevil : Yellow #1 à 6, Spider-Man : Blue #1 à 6 et Hulk : Grey #1 à 6)
Autant aborder le sujet des dessins tout de suite, histoire de ne pas me mettre à radoter sur Tim Sale. Comme toujours, il n’y a qu’un mot pour décrire son travail, son œuvre devrait-on dire, la perfection. Son style rétro, son travail sur les expressions, la beauté de ses femmes, c’est un régal oculaire à chaque page, à chaque case. Pas de fioriture, pas de superflux, l’artiste va à l’essentiel : l’action et les personnages. C’est un véritable hommage que Tim Sale rend à nos héros en nous les présentant dans un si bel écrin, et en mettant autant en valeur, les femmes de leur vie !
Un tel travail, de tels chefs d’œuvres, car ce sont trois véritables bijoux artistiques que nous avons là, se suffisent presque à eux-mêmes.
Presque, puisque Jeph Loeb nous propose, lui aussi, quelque chose de fabuleux ! A travers des retcons passionnants et empathiques, le scénariste nous plonge dans les passés douloureux de ces trois personnages. On y découvre trois héros, trois hommes, frappés par le sort, qui tente de survivre à leur plus grande défaite, la perte de l’être tant aimé. On ne peut être que touché, à défaut d’être triste, par les témoignages poignants de ces personnages. Des témoignages, sortes de confessions, qui nous font comprendre que sous le masque, ils ne sont que des hommes, de simples hommes comme vous et moi.
Daredevil, écrit à Karen, le grand amour de sa vie, Jeph Loeb, comme pour les trois histoires, ne nous plonge pas au cœur de leur relation, mais à ces débuts, et même avant cela, avant que le couple se forme, lors de la phase de séduction que l’on pourrait qualifier « d’à l’insu de leur plein gré ». Car si ces trois personnages sont différents, tous les trois semblent démunis lorsque ces trois femmes leur tombe dessus.
Daredevil écrit donc à Karen, qui nous a quitté depuis longtemps, et se remémore donc leur première rencontre, comment elle est apparue, telle une tornade dans sa vie, au moment où il réalisait ses premiers exploits sous le costume jaune de Daredevil. Et c’est d’autant plus difficile pour notre héros de tomber peu à peu amoureux de Karen, tandis que la jolie secrétaire en craque autant petit-à-petit pour Daredevil. Rajoutons à cela le bon Foggy, désireux de demander la belle en mariage !
Pour Peter Parker, et Spider-Man, il s’agit d’un enregistrement audio, destiné à sa douce Gwen Stacy. Chaque année, à la date anniversaire (je n’aime pas cette expression) de sa mort, la mélancolie gagne Peter, et il a senti le besoin de laisser une trace oral de son histoire avec la belle Gwen. On plonge alors dans le passé, et la mémoire de Peter, à la fac, juste après que le Bouffon Vert, Norman Osborn ne perde la mémoire, au moment où Peter emménage avec Harry.
Notre brave Peter « bave » littéralement (passez-moi l’expression) devant la charmante et si belle Gwen, convaincu que ce « fantasme » n’est qu’à sens unique. Et pourtant pas si à sens unique que cela, puisque Gwen semble très attirée par Peter. Alors qu’il rêve de la jolie blonde, une succession de combats l’empêche de se rapprocher d’elle alors que les feux sont au vert. Et cette impatience se fait réciproque lorsque la caliente Mary-Jane arrive en ville et jette, également, son dévolu sur Peter.
Pour Hulk, il s’agit d’un entretien avec le docteur Samson, en pleine nuit, la mélancolie et la culpabilité gagnent ce bon docteur Banner. Et cet échange le plonge à sa première transformation en Hulk, en gris, la naissance de son conflit avec Ross, son combat avec Iron Man, son amitié avec Rick Jones et surtout sa relation avec la jolie Betty !
Au fil de son échange, de sa discussion, de son monologue, Bruce arrive, petit-à-petit, à une douloureuse conclusion, qu’il argumente à la perfection. Douloureuse mais complètement légitime, crédible. Cette histoire de la Belle et la Bête moderne, conserve tous les codes du conte, et l’on comprend vite que sous la puissance de la bête se cache une grande sensibilité, tandis que la douceur apparente de la Belle dissimule une ardente fureur.
Trois histoires tragiques, trois amours perdus, trois blessures qui jamais se refermeront, mais il semblerait, en lisant les prémices des ces trois tragédies, que nos héros ne changeraient rien. Preuve qu’une belle histoire d’amour, même si elle fini mal, va au-delà de la mort si elle est aussi forte, aussi intense, aussi vraie le temps qu’elle dure. La vie est une suite de rencontres, de moments, qu’ils soient de joie ou de tristesse, mais l’instant vécu est plus fort que la mort, les souvenirs de ces moments magiques suffisant à « accepter » cette fin tragique.
Bref, Jeph Loeb et Tim Sale, nous proposent trois histoires magnifiques. Des femmes magnifiques dans tous les sens du terme qui manquent peut-être autant à leur héros qu’aux lecteurs. (Du moins pour Karen et Gwen.)
Entre et, Jeph Loeb (Fallen Son : The Death of Captain America) et Tim Sale (Captain America : White) se sont intéressés aux origines de trois grands héros Marvel. Retrouvez Daredevil à l’époque où il était encore vêtu de jaune, Spider-Man lorsque son cœur battait pour Gwen Stacy et Bruce Banner juste après l’explosion de la bombe gamma.
(Contient : Daredevil : Yellow #1 à 6, Spider-Man : Blue #1 à 6 et Hulk : Grey #1 à 6)
Autant aborder le sujet des dessins tout de suite, histoire de ne pas me mettre à radoter sur Tim Sale. Comme toujours, il n’y a qu’un mot pour décrire son travail, son œuvre devrait-on dire, la perfection. Son style rétro, son travail sur les expressions, la beauté de ses femmes, c’est un régal oculaire à chaque page, à chaque case. Pas de fioriture, pas de superflux, l’artiste va à l’essentiel : l’action et les personnages. C’est un véritable hommage que Tim Sale rend à nos héros en nous les présentant dans un si bel écrin, et en mettant autant en valeur, les femmes de leur vie !
Un tel travail, de tels chefs d’œuvres, car ce sont trois véritables bijoux artistiques que nous avons là, se suffisent presque à eux-mêmes.
Presque, puisque Jeph Loeb nous propose, lui aussi, quelque chose de fabuleux ! A travers des retcons passionnants et empathiques, le scénariste nous plonge dans les passés douloureux de ces trois personnages. On y découvre trois héros, trois hommes, frappés par le sort, qui tente de survivre à leur plus grande défaite, la perte de l’être tant aimé. On ne peut être que touché, à défaut d’être triste, par les témoignages poignants de ces personnages. Des témoignages, sortes de confessions, qui nous font comprendre que sous le masque, ils ne sont que des hommes, de simples hommes comme vous et moi.
Daredevil, écrit à Karen, le grand amour de sa vie, Jeph Loeb, comme pour les trois histoires, ne nous plonge pas au cœur de leur relation, mais à ces débuts, et même avant cela, avant que le couple se forme, lors de la phase de séduction que l’on pourrait qualifier « d’à l’insu de leur plein gré ». Car si ces trois personnages sont différents, tous les trois semblent démunis lorsque ces trois femmes leur tombe dessus.
Daredevil écrit donc à Karen, qui nous a quitté depuis longtemps, et se remémore donc leur première rencontre, comment elle est apparue, telle une tornade dans sa vie, au moment où il réalisait ses premiers exploits sous le costume jaune de Daredevil. Et c’est d’autant plus difficile pour notre héros de tomber peu à peu amoureux de Karen, tandis que la jolie secrétaire en craque autant petit-à-petit pour Daredevil. Rajoutons à cela le bon Foggy, désireux de demander la belle en mariage !
Pour Peter Parker, et Spider-Man, il s’agit d’un enregistrement audio, destiné à sa douce Gwen Stacy. Chaque année, à la date anniversaire (je n’aime pas cette expression) de sa mort, la mélancolie gagne Peter, et il a senti le besoin de laisser une trace oral de son histoire avec la belle Gwen. On plonge alors dans le passé, et la mémoire de Peter, à la fac, juste après que le Bouffon Vert, Norman Osborn ne perde la mémoire, au moment où Peter emménage avec Harry.
Notre brave Peter « bave » littéralement (passez-moi l’expression) devant la charmante et si belle Gwen, convaincu que ce « fantasme » n’est qu’à sens unique. Et pourtant pas si à sens unique que cela, puisque Gwen semble très attirée par Peter. Alors qu’il rêve de la jolie blonde, une succession de combats l’empêche de se rapprocher d’elle alors que les feux sont au vert. Et cette impatience se fait réciproque lorsque la caliente Mary-Jane arrive en ville et jette, également, son dévolu sur Peter.
Pour Hulk, il s’agit d’un entretien avec le docteur Samson, en pleine nuit, la mélancolie et la culpabilité gagnent ce bon docteur Banner. Et cet échange le plonge à sa première transformation en Hulk, en gris, la naissance de son conflit avec Ross, son combat avec Iron Man, son amitié avec Rick Jones et surtout sa relation avec la jolie Betty !
Au fil de son échange, de sa discussion, de son monologue, Bruce arrive, petit-à-petit, à une douloureuse conclusion, qu’il argumente à la perfection. Douloureuse mais complètement légitime, crédible. Cette histoire de la Belle et la Bête moderne, conserve tous les codes du conte, et l’on comprend vite que sous la puissance de la bête se cache une grande sensibilité, tandis que la douceur apparente de la Belle dissimule une ardente fureur.
Trois histoires tragiques, trois amours perdus, trois blessures qui jamais se refermeront, mais il semblerait, en lisant les prémices des ces trois tragédies, que nos héros ne changeraient rien. Preuve qu’une belle histoire d’amour, même si elle fini mal, va au-delà de la mort si elle est aussi forte, aussi intense, aussi vraie le temps qu’elle dure. La vie est une suite de rencontres, de moments, qu’ils soient de joie ou de tristesse, mais l’instant vécu est plus fort que la mort, les souvenirs de ces moments magiques suffisant à « accepter » cette fin tragique.
Bref, Jeph Loeb et Tim Sale, nous proposent trois histoires magnifiques. Des femmes magnifiques dans tous les sens du terme qui manquent peut-être autant à leur héros qu’aux lecteurs. (Du moins pour Karen et Gwen.)
- Mister BAdmin-Man
- Messages : 19860
Date d'inscription : 10/09/2009
Re: Marvel Heroes par Loeb et Sale (toutes editions)
Dim 5 Déc 2021 - 11:06
Longtemps ces mini-séries me laissaient indifférent. Encore les origines de Daredevil ? Encore la mort de Gwen Stacy ? N'y-a-t-il donc rien de plus palpitant à raconter sur ces héros ? Puis, j'ai cessé de lire des comics ;et je ne me suis plus soucié de cet ensemble que j'avais décrété comme anecdotique et sans intérêt. Il faut dire que je ne connaissais de Jeph Loeb que ses travaux les plus mauvais à l'instar de son passage dans l'univers Ultimate ou de sa série Hulk bourrine et sans nuance.
Les années ont passé, me revoici à lire des comics, mais aussi les messages d'un certain Eon, bien enthousiaste lorsqu'il en vient à parler du duo formé par Jeph Loeb et Tim Sale. Le Printemps des comics, un prix attractif, une cinquante-millième réédition de ces mini-séries, bien, allons-y, lisons-les... Quel magnifique voyage ! Jeph Loeb, ce n'est donc pas seulement le créateur de machins débiles plein de gore et de testostérone comme Hulk ou Ultimatum ? Serait-ce aussi un auteur d'histoires sensibles et mélancoliques ? Il semblerait bien !
Daredevil: Yellow et Spider-Man: Blue parlent des premières amours et de la perte de l'être cher, Ellen Page pour Matt, Gwen Stacy pour Peter. Les deux ont refait leur vie, mais peut-on vraiment tourné la page lorsque deux personnes qui comptaient tant pour nous s'en sont allées de façon si violente ? Lorsque ces personnes sont mortes sous les coups de vilains que l'on a juré de neutraliser ? Autrement dit, lorsqu'elles sont mortes à cause de nous ?
Pas tout à fait, et Peter comme Matt se souviennent, se remémorent de leur rencontre avec Gwen et avec Ellen, de la naissance de leur sentiment, mais aussi de leur activité super-héroïque. Oui, cette activité super-héroïque, ce devoir que l'on accepte de porter au nom du père assassiné, mais qui empêche toute vie normale, toute relation normale avec une moitié.Les combats de Spidey reflètent les troubles de Peter devant Gwen, sa difficulté à la séduire et les obstacles qui s'y opposent. Foggy pour Matt, Flash et Harry pour Peter, ces séries marquent aussi l'éveil de nouvelles amitiés à la sortie de la fac ou du lycée, et immanquablement de certaines rivalités lorsqu'il s'agit de séduire les filles de la bande.
Matt et Peter se rappellent donc de cette jeunesse, de ses coups durs et de ses joies, de ses petits moments drôles comme comme de ses peines, instants mélancoliques qu'ils ne connaîtront plus jamais. Le trait simple et épuré, la palette de couleur qui rappelle naturellement les titres respectifs, une certaine mélancolie rétro, les dessins de Sale sont en parfaite osmose avec le scénario de Jeph Loeb, avec cette évocation nostalgique, ces moments glanés, comme des souvenirs qui nous reviennent. Car ces mini-séries sont aussi une sorte de jeu avec les propres souvenirs et les propres émotions du lecteur qui se remémore à son tour les histoires qui ont inspiré nos auteurs.
Spider-Man: Blue et Daredevil: Yellow, sont tout simple, tout bête, et pourtant, ces séries sont belles et mémorables ;elles méritent pleinement le statut le classique qu'elles ont su gagné au fil du temps et de leurs multiples rééditions. Il ne me reste donc plus qu'à découvrir aussi Captain America: White, Hulk: Grey et les deux sagas Batman du duo !
(par contre, sérieusement Panini, il existe d'autres comics, arrêtez de rééditer ces mini-séries... ) )
- EonMembre de Stormwatch
- Messages : 1058
Date d'inscription : 05/05/2019
Re: Marvel Heroes par Loeb et Sale (toutes editions)
Dim 5 Déc 2021 - 12:18
Ravi que tu aies pu trouvé un petit enchantement dans ces lectures.. Bel hommage que tu leur rend au travers de ton texte!
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