Batman : Le Chevalier Noir (New 52)
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- TheRiddlerMembre de Stormwatch
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Re: Batman : Le Chevalier Noir (New 52)
Mar 20 Mai 2014 - 6:51
Skratsch a écrit:
Il me semble que dans le New 52, Poison Ivy est la première à quitter l'équipe pour retourner à ses mauvaises vieilles habitudes. Ceci-dit, le perso semble rester assez difficile à classer entre héroïne ou supervillaine. C'est assez ironique étant donné qu'elle a été créée à la base pour confronter Batman à une nouvelle adversaire féminine clairement maléfique lorsque Catwoman est devenue trop "gentille", finalement elle suit le même chemin.
C'est pas faux...mais Catwoman est juste une voleuse, je ne l'ai jamais vu tuer quelqu'un pour atteindre son but, alors que Poison Ivy, dans pas mal de versions, se fiche complétement de mettre des vies humaines en danger tant que ses précieuses plantes ont tout ce qu'elles veulent. Mais maintenant, pour une adversaire féminine maléfique, on a Harley Quinn !
- SkratschEnvahisseur
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Re: Batman : Le Chevalier Noir (New 52)
Mar 20 Mai 2014 - 16:05
Même Harley n'est pas totalement maléfique, quand elle n'est pas collée à son Mister J, elle peut être très fréquentable. Suffit de la voir dans Gotham City Sirens, elle est instable mais elle peut aussi bien faire le bien que le mal.
- SkratschEnvahisseur
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Re: Batman : Le Chevalier Noir (New 52)
Lun 23 Juin 2014 - 13:10
Tome 3 lu. Je ferais peut-être une critique complète plus tard dans laquelle je parlerais aussi des tomes 1 et 2 (vu que je ne l'ai pas encore fait), mais pour l'instant je vais me contenter d'un lapidaire "C'est très mauvais."
Le scénario ne m'a pas du tout emballé, Hurwitz ne semble pas savoir quoi faire du Mad Hatter et encore moins de Batman, ce qui est fort dommage quand on voit son travail sur le Penguin, le dessin est inégal au possible, on nous sert de la femme dans le réfrigérateur de manière totalement gratuite. J'en profite pour conseiller à Barbuz de ne pas approcher à moins de trois mètres de ce tome sans se munir d'un défibrillateur, parce que son petit cœur de défenseur de la langue risque de mal supporter certains passages.
Ceci-dit, j'ai beaucoup aimé l'annual proposé en interlude.
Le scénario ne m'a pas du tout emballé, Hurwitz ne semble pas savoir quoi faire du Mad Hatter et encore moins de Batman, ce qui est fort dommage quand on voit son travail sur le Penguin, le dessin est inégal au possible, on nous sert de la femme dans le réfrigérateur de manière totalement gratuite. J'en profite pour conseiller à Barbuz de ne pas approcher à moins de trois mètres de ce tome sans se munir d'un défibrillateur, parce que son petit cœur de défenseur de la langue risque de mal supporter certains passages.
Ceci-dit, j'ai beaucoup aimé l'annual proposé en interlude.
- ShadowsMembre de l'Ordre de St Dumas
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Re: Batman : Le Chevalier Noir (New 52)
Lun 23 Juin 2014 - 22:25
On pourrait croire que je suis venu vous parler du tome 3, que neni, vu que je ne l'ai pas encore lu, ni acheter, je prend mon temps... Non je suis venu vous dire 2 mots sur le tome 2, le donc très célèbre Cycle de violence, un petit chef d'oeuvre de noirceur et de sadisme assumé. Même si j'avais mieux aimé le 1er tome, pas tant à cause de l'histoire mais du dessin plus haut en couleur, tout en contraste: noirceur et couleur qui claque. Ce 2ème tome lui est beaucoup plus terne.
De toute les façons je préfère ce batman à celui du soporifique snyder, maître du pétard mouillé et des histoires qui finissent en eau de boudin. Du batman comme ce chevalier noir j'en voudrais plus, bien sur ils nous reste détective comics qui est de bon niveau mais pour combien de temps encore...
De toute les façons je préfère ce batman à celui du soporifique snyder, maître du pétard mouillé et des histoires qui finissent en eau de boudin. Du batman comme ce chevalier noir j'en voudrais plus, bien sur ils nous reste détective comics qui est de bon niveau mais pour combien de temps encore...
- SkratschEnvahisseur
- Messages : 754
Date d'inscription : 04/02/2014
Re: Batman : Le Chevalier Noir (New 52)
Lun 23 Juin 2014 - 22:47
Barbuz, j'ai édité. C'est une expression qui devient tellement courante que j'ai tendance à oublier qu'on peut effectivement mal le prendre, ce qui reste compréhensible.
- BiggyMembre du Green Lantern Corps
- Messages : 9665
Date d'inscription : 27/07/2010
Re: Batman : Le Chevalier Noir (New 52)
Jeu 3 Juil 2014 - 9:48
Tome 3 lu...
Le précédent tome de Batman, le Chevalier Noir nous avait plongé dans la peur effroyable et terrible entourant le personnage de l’Epouvantail. A travers une histoire très agressive, nous découvrions, avec horreur, le passé de Crane sans pour autant lui pardonner ses actes. C’est au tour d’un nouvel ennemi de faire ses premiers pas dans l’univers New52 face à Batman. Après la peur panique provoquée par l’Epouvantail, place à la folie douce-amère du Chapelier !
Comme pour les précédents volumes, cette série se situe bien en marge de la série-mère de Scott Snyder et Greg Capullo. L’équipe artistique pouvant alors laisser libre court à son imagination pour nous offrir, jusqu’à maintenant, des histoires plus centrées action que réflexion, mais donnant toujours des histoires sans prise de tête, plaisantes à lire.
Si le célèbre détective Batman se dresse aujourd’hui devant une traînée de cadavres, il n’a pour l’instant pas l’ombre d’une piste. Durement mis à l’épreuve, son savoir-faire est doublement entaché lorsque le maniaque commence à kidnapper les habitants de la ville sans aucune raison apparente. Le Chevalier Noir aurait-il finalement trouvé plus rusé – ou plus fou – que lui ? (Contenu : The Dark Knight #16-21 + The Dark Knight Annual #1)
Avant toute chose, commençons par le sujet sensible, par le gros mauvais point pour moi : les dessins ! Et pourtant je suis un fan inconditionnel d’Ethan Van Sciver et de Szymon Kudranski. Tous les deux dans des styles complètement différents. L’un s’éclatant dans le lumineux, les explosions de couleurs, l’autre plus adepte des jeux d’ombre inquiétants. Pourquoi les associer ?? Le passage du chapitre #18 au #19 est extrêmement violent pour les yeux ! Cela en est préjudiciable pour les deux artistes. Le style chaotique et noir de Kudranski après celui d’Ethan Van Sciver, il faut du temps pour s’y habituer ! Et une fois le choc passé on réalise à quel point Ivan Reis n’est pas à sa place sur un titre comme Batman.
Ethan Van Sciver est le genre d’artiste à s’épanouir dans la lumière, dans une effervescence de couleurs ! Le voir œuvrer sur un titre aussi noir, aussi sombre que Batman ne prend absolument pas ! Et je ne sais pas s’il est allé sur ce titre en marche arrière, mais disons que ses dessins ne sont vraiment pas d’une grande finesse. Des problèmes d’anatomie (pauvre Natalya !...), des personnages approximatifs, des cases alternant entre le détaillé et le vide. Bref, Ethan Van Sciver ne nous offre vraiment pas un chef d’œuvre, bien loin de là. Pourtant sa représentation du Chapelier est assez intéressante.
A côté de cela Szymon Kudranski, nous gratifie de deux chapitres, plus annual, absolument jouissifs de par ce qu’ils arrivent à dégager ! Le Chapelier est plus qu’inquiétant, la folie est merveilleusement bien rendue, et le travail de l’artiste sur les ombres et le noir n’a plus à être encensé tant cela est maintenant de notoriété publique ! Même si ses décors restent encore assez pauvres, son travail sur les personnages est tellement fort et riche, qu’on oublie vite ce souci.
Vraiment un très curieux choix de la part de DC Comics, qui dessert totalement le récit. De plus, non seulement on passe de Reis à Kudranski en milieu de saga, mais Ethan Van Sciver revient ensuite pour le dernier chapitre…
Venons-en à l’histoire ! Gotham est à nouveau le théâtre de disparitions. De très, très nombreuses disparitions. Toutes orchestrées par le Chapelier Fou. Le dément décide de faire en sorte, sous forme d’une pièce de théâtre géante et vivante, de revivre encore et encore ce qu’il juge comme étant le plus beau jour de sa vie. Lorsque tout était idyllique. Car on découvre à travers des flashbacks sur son enfance, qu’à l’inverse de l’Epouvantail, l’enfance du petit Jervis Tetch était plutôt agréable. Du moins jusqu’à ce qu’on lui annonce une maladie génétique plutôt handicapante et assez difficile à digérer pour Jervis. D’ailleurs si Crane était une véritable victime, Jervis s’avère être son propre bourreau ! Et si l’enfance de Crane pouvait, et faisait naître une véritable empathie pour le psychopathe, ce n’est absolument pas le cas pour Jervis Tetch. Il est même assez ridicule de le voir sombrer ainsi pour de telles raisons, et plus ridicules encore sont ses motivations dans les enlèvements actuels à Gotham.
Parallèlement à la quête du Chapelier et à son face-à-face avec Batman, l’aspect Bruce Wayne est assez bien travaillé par Gregg Hurwitz, et franchement cela est plutôt navrant et risible. Lui faire prendre de telles décisions (vis-à-vis de son rôle de Batman) avec un personnage aussi creux et sorti de nulle part que cette pianiste ukrainienne, ce n’est tellement pas crédible. Et je crois que d’essayer de raccrocher cette envie à la disparition de Damian afin de la justifier est encore pire que tout ! Le pire étant la façon dont l’auteur balaie tout ça au final…
Beaucoup de violence dans ce tome, pas toujours justifiée, même si elle est l’œuvre d’un dément comme le Chapelier ! Et elle est paraît encore plus gratuite lorsqu’elle mise en image par Reis ! Comment ne pas être mal à l’aise lorsqu’on voit Jervis recouvert de sang, un fer à repasser à la main ? Alors qu’on l’est, étrangement, moins lorsque Kudranski nous montre des pêcheurs découvrir plusieurs centaines de cadavres dans la baie de Gotham. Sans doute grâce à son style plu sombre, plus abstrait.
Et si la violence est parfois dérangeante, que dire de l’humour qu’Hurwitz essaie, très maladroitement, d’inculquer à Batman. Cela met mal à l’aise tellement c’est nul et mal amené, ne collant tellement pas au personnage. Le summum étant sans doute la triste scène entre Batman et Gordon… Pourquoi essayer ce genre de chose ? Cela n’apporte rien, surtout que Batman est censé être en deuil…
Petit mot enfin sur l’annual à la fin, avec le même scénariste et Kudranski au dessin. Très plaisant à lire et donc à regarder. On y retrouve le Pingouin, l’Epouvantail et le Chapelier (les méchants des trois premiers tomes de cette série) qui se retrouvent enfermés durant une nuit dans une maison délabrée, une nuit qu’ils ne sont pas prêts d’oublier…
Bref, si j’aime la folie de Jervis Tetch, je n’aime pas sa violence gratuite. Si j’aime la noirceur des dessins de Kudranski, je n’aime pas le passage de Van Sciver sur le titre. Une histoire monotone avec des ambitions absurdes. Un travail sur Batman à l’humour navrant, un travail sur Bruce et son avenir aberrant… Si au final ce tome se laisse facilement lire, si le Chapelier est plutôt intéressant, cela reste vraiment du mauvais Batman, trop violent et avec une histoire d’amour à la sauce Amour, Gloire et Beauté.
Heureusement l’annual reste un vrai plaisir à lire !
Le précédent tome de Batman, le Chevalier Noir nous avait plongé dans la peur effroyable et terrible entourant le personnage de l’Epouvantail. A travers une histoire très agressive, nous découvrions, avec horreur, le passé de Crane sans pour autant lui pardonner ses actes. C’est au tour d’un nouvel ennemi de faire ses premiers pas dans l’univers New52 face à Batman. Après la peur panique provoquée par l’Epouvantail, place à la folie douce-amère du Chapelier !
Comme pour les précédents volumes, cette série se situe bien en marge de la série-mère de Scott Snyder et Greg Capullo. L’équipe artistique pouvant alors laisser libre court à son imagination pour nous offrir, jusqu’à maintenant, des histoires plus centrées action que réflexion, mais donnant toujours des histoires sans prise de tête, plaisantes à lire.
Si le célèbre détective Batman se dresse aujourd’hui devant une traînée de cadavres, il n’a pour l’instant pas l’ombre d’une piste. Durement mis à l’épreuve, son savoir-faire est doublement entaché lorsque le maniaque commence à kidnapper les habitants de la ville sans aucune raison apparente. Le Chevalier Noir aurait-il finalement trouvé plus rusé – ou plus fou – que lui ? (Contenu : The Dark Knight #16-21 + The Dark Knight Annual #1)
Avant toute chose, commençons par le sujet sensible, par le gros mauvais point pour moi : les dessins ! Et pourtant je suis un fan inconditionnel d’Ethan Van Sciver et de Szymon Kudranski. Tous les deux dans des styles complètement différents. L’un s’éclatant dans le lumineux, les explosions de couleurs, l’autre plus adepte des jeux d’ombre inquiétants. Pourquoi les associer ?? Le passage du chapitre #18 au #19 est extrêmement violent pour les yeux ! Cela en est préjudiciable pour les deux artistes. Le style chaotique et noir de Kudranski après celui d’Ethan Van Sciver, il faut du temps pour s’y habituer ! Et une fois le choc passé on réalise à quel point Ivan Reis n’est pas à sa place sur un titre comme Batman.
Ethan Van Sciver est le genre d’artiste à s’épanouir dans la lumière, dans une effervescence de couleurs ! Le voir œuvrer sur un titre aussi noir, aussi sombre que Batman ne prend absolument pas ! Et je ne sais pas s’il est allé sur ce titre en marche arrière, mais disons que ses dessins ne sont vraiment pas d’une grande finesse. Des problèmes d’anatomie (pauvre Natalya !...), des personnages approximatifs, des cases alternant entre le détaillé et le vide. Bref, Ethan Van Sciver ne nous offre vraiment pas un chef d’œuvre, bien loin de là. Pourtant sa représentation du Chapelier est assez intéressante.
A côté de cela Szymon Kudranski, nous gratifie de deux chapitres, plus annual, absolument jouissifs de par ce qu’ils arrivent à dégager ! Le Chapelier est plus qu’inquiétant, la folie est merveilleusement bien rendue, et le travail de l’artiste sur les ombres et le noir n’a plus à être encensé tant cela est maintenant de notoriété publique ! Même si ses décors restent encore assez pauvres, son travail sur les personnages est tellement fort et riche, qu’on oublie vite ce souci.
Vraiment un très curieux choix de la part de DC Comics, qui dessert totalement le récit. De plus, non seulement on passe de Reis à Kudranski en milieu de saga, mais Ethan Van Sciver revient ensuite pour le dernier chapitre…
Venons-en à l’histoire ! Gotham est à nouveau le théâtre de disparitions. De très, très nombreuses disparitions. Toutes orchestrées par le Chapelier Fou. Le dément décide de faire en sorte, sous forme d’une pièce de théâtre géante et vivante, de revivre encore et encore ce qu’il juge comme étant le plus beau jour de sa vie. Lorsque tout était idyllique. Car on découvre à travers des flashbacks sur son enfance, qu’à l’inverse de l’Epouvantail, l’enfance du petit Jervis Tetch était plutôt agréable. Du moins jusqu’à ce qu’on lui annonce une maladie génétique plutôt handicapante et assez difficile à digérer pour Jervis. D’ailleurs si Crane était une véritable victime, Jervis s’avère être son propre bourreau ! Et si l’enfance de Crane pouvait, et faisait naître une véritable empathie pour le psychopathe, ce n’est absolument pas le cas pour Jervis Tetch. Il est même assez ridicule de le voir sombrer ainsi pour de telles raisons, et plus ridicules encore sont ses motivations dans les enlèvements actuels à Gotham.
Parallèlement à la quête du Chapelier et à son face-à-face avec Batman, l’aspect Bruce Wayne est assez bien travaillé par Gregg Hurwitz, et franchement cela est plutôt navrant et risible. Lui faire prendre de telles décisions (vis-à-vis de son rôle de Batman) avec un personnage aussi creux et sorti de nulle part que cette pianiste ukrainienne, ce n’est tellement pas crédible. Et je crois que d’essayer de raccrocher cette envie à la disparition de Damian afin de la justifier est encore pire que tout ! Le pire étant la façon dont l’auteur balaie tout ça au final…
Beaucoup de violence dans ce tome, pas toujours justifiée, même si elle est l’œuvre d’un dément comme le Chapelier ! Et elle est paraît encore plus gratuite lorsqu’elle mise en image par Reis ! Comment ne pas être mal à l’aise lorsqu’on voit Jervis recouvert de sang, un fer à repasser à la main ? Alors qu’on l’est, étrangement, moins lorsque Kudranski nous montre des pêcheurs découvrir plusieurs centaines de cadavres dans la baie de Gotham. Sans doute grâce à son style plu sombre, plus abstrait.
Et si la violence est parfois dérangeante, que dire de l’humour qu’Hurwitz essaie, très maladroitement, d’inculquer à Batman. Cela met mal à l’aise tellement c’est nul et mal amené, ne collant tellement pas au personnage. Le summum étant sans doute la triste scène entre Batman et Gordon… Pourquoi essayer ce genre de chose ? Cela n’apporte rien, surtout que Batman est censé être en deuil…
Petit mot enfin sur l’annual à la fin, avec le même scénariste et Kudranski au dessin. Très plaisant à lire et donc à regarder. On y retrouve le Pingouin, l’Epouvantail et le Chapelier (les méchants des trois premiers tomes de cette série) qui se retrouvent enfermés durant une nuit dans une maison délabrée, une nuit qu’ils ne sont pas prêts d’oublier…
Bref, si j’aime la folie de Jervis Tetch, je n’aime pas sa violence gratuite. Si j’aime la noirceur des dessins de Kudranski, je n’aime pas le passage de Van Sciver sur le titre. Une histoire monotone avec des ambitions absurdes. Un travail sur Batman à l’humour navrant, un travail sur Bruce et son avenir aberrant… Si au final ce tome se laisse facilement lire, si le Chapelier est plutôt intéressant, cela reste vraiment du mauvais Batman, trop violent et avec une histoire d’amour à la sauce Amour, Gloire et Beauté.
Heureusement l’annual reste un vrai plaisir à lire !
- LanvalDefenseur
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Re: Batman : Le Chevalier Noir (New 52)
Mar 15 Mar 2016 - 8:56
BATMAN LE CHEVALIER NOIR tome 4
Scénario : Greg Hurwitz - Dessin ;Evan Van Sciver
Gueule d'Argile s'est une fois de plus échappé de l'Asile d'Arkham et sème la terreur dans les rues de Gotham. Batman a fort à faire avec ce tueur qui peut prendre l'apparence de n'importe quelle personne. De son côté, Man-Bat prend son envol.
Contenu : Batman The Dark Knight vol.4: Clay (#20-29)
Public : Ado-adulte - à partir de 12 ans
Genre : Polar / Thriller / Super-héros
Collection : DC Renaissance
Date de sortie : 26 août 2016
Pagination : 176 pages
Prix : 17.5 EUR
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Re: Batman : Le Chevalier Noir (New 52)
Mar 15 Mar 2016 - 9:49
Enfin !
Re: Batman : Le Chevalier Noir (New 52)
Dim 20 Mar 2016 - 0:44
Biggy a écrit:Enfin !
Oui enfin !
En tout cas le visuel de la version original est le suivant:
- fred le mallratAdmin-Man
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Localisation : Bruges
Re: Batman : Le Chevalier Noir (New 52)
Mer 22 Juin 2016 - 14:18
Lanval a écrit:
BATMAN LE CHEVALIER NOIR tome 4
Scénario : Greg Hurwitz - Dessin ;Evan Van Sciver
Gueule d'Argile s'est une fois de plus échappé de l'Asile d'Arkham et sème la terreur dans les rues de Gotham. Batman a fort à faire avec ce tueur qui peut prendre l'apparence de n'importe quelle personne. De son côté, Man-Bat prend son envol.
Contenu : Batman The Dark Knight vol.4: Clay (#20-29)
Public : Ado-adulte - à partir de 12 ans
Genre : Polar / Thriller / Super-héros
Collection : DC Renaissance
Date de sortie : 26 août 2016
Pagination : 176 pages
Prix : 17.5 EUR
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Re: Batman : Le Chevalier Noir (New 52)
Ven 11 Nov 2016 - 18:32
Tome 4 lu.
Deux ans ! Un peu plus de deux ans, c’est le temps qu’il aura fallu attendre entre le troisième tome et celui-ci, marquant la fin du titre. Si Batman, le Chevalier Noir n’aura jamais été un titre fantastique ou d’une grande profondeur, il nous aura cependant proposé des histoires divertissantes, sans prise de tête et donnant la part belle aux ennemis emblématiques de notre héros. Et avec l’arrivée de Gueule d’Argile au casting, mais aussi d’un nouveau Man-Bat, ce quatrième tome est particulièrement alléchant, et attendu.
Gueule d’Argile s’est une fois de plus échappé de l’Asile d’Arkham et sème la terreur dans les rues de Gotham. Batman a fort faire avec ce tueur qui peut prendre l’apparence de n’importe quelle personne. De son côté, un nouveau Man-Bat prend son envol : quel lien a-t-il avec le précédent alter ego, Kirk Langstrom ?
(Contient les épisodes #22 à 29)
Une fois de plus Gueule d’Argile s’est évadé d’Arkham, et une fois de plus Gueule d’Argile s’en prend aux habitants de Gotham en changeant d’apparence, en prenant l’identité d’autres personnes. Mais une fois de plus, Batman veille au grain et renvoie le criminel dans sa cellule à l’Asile d’Arkham.
Ce n’est pas tant le combat entre les deux ennemis qui est intéressant mais plus la plongée, grâce à Gregg Hurwitz, dans les origines de Gueule d’Argile, dans les débuts de Basil Karlo !
Un jeune garçon quelconque, passant totalement inaperçu et ayant soif de reconnaissance, de regard sur lui, de lumière. Avec le temps, ce besoin est devenu vital et a fini par gangréner le jeune Basil. Tellement obnubilé par le fait de devenir célèbre et aimer de tous qu’il a fini par accepter tout et n’importe quoi ! Le n’importe quoi étant parfaitement illustré par son accord avec le Pingouin !
Cette nouvelle enquête, cette nouvelle opposition va permettre à Batman et Gordon de comprendre les aspirations véritables de Basil, simple looser en manque de reconnaissance. Cette nouvelle rencontre est merveilleusement bien illustrée par Alex Maleev, dessinateur idéal pour un tel vilain.
Ce quatrième, et ultime tome nous propose deux autres histoires. Une première, entièrement silencieuse, sans la moindre bulle, où Batman se retrouve face à une sombre et sinistre histoire d’esclavage, avec une famille déchirée et victime de ce fléau. Il faut saluer le magnifique travail d’Alberto Ponticelli qui livre un travail somptueux et magistral, où son travail, ses dessins, suffisent à nous conter l’histoire, à faire transmettre les émotions, les plus dures soient-elles.
La dernière intrigue oppose Batman à un nouveau Man-Bat, plus gros, plus puissant et plus dangereux que le précédent. Batman va être surpris en découvrant l’identité de ce nouvel ennemi, nous rappelant légèrement la famille Osborn dans Spider-Man.
Graphiquement, cette histoire est l’œuvre d’Ethan Van Sciver, et je dois reconnaître être de moins en moins fan de cet artiste. L’impression de toujours revoir la même chose.
Encore une fois, Batman, le Chevalier Noir nous propose des intrigues simples, bien écrites et intéressantes. Pas de prise de tête, des histoires qui courent sur quelques chapitres, pas de trucs à rallonge où qui vont polluer les autres titres de la Bat-Family. D’ailleurs ce titre, aura été le seul à ne pas souffrir et devoir supporter des intrigues de Scott Snyder sur Batman. Rien qu’en cela, c’est un bon point !
Bref, clap de fin pour Batman, le Chevalier Noir ! A l’image des précédents tomes, des précédentes intrigues, De l’Argile fut un tome plaisant à lire, à suivre, avec un bon travail sur son vilain. Un bon divertissement, je n’en demande pas plus, le titre est donc au niveau de mes attentes, c’est le principal.
Deux ans ! Un peu plus de deux ans, c’est le temps qu’il aura fallu attendre entre le troisième tome et celui-ci, marquant la fin du titre. Si Batman, le Chevalier Noir n’aura jamais été un titre fantastique ou d’une grande profondeur, il nous aura cependant proposé des histoires divertissantes, sans prise de tête et donnant la part belle aux ennemis emblématiques de notre héros. Et avec l’arrivée de Gueule d’Argile au casting, mais aussi d’un nouveau Man-Bat, ce quatrième tome est particulièrement alléchant, et attendu.
Gueule d’Argile s’est une fois de plus échappé de l’Asile d’Arkham et sème la terreur dans les rues de Gotham. Batman a fort faire avec ce tueur qui peut prendre l’apparence de n’importe quelle personne. De son côté, un nouveau Man-Bat prend son envol : quel lien a-t-il avec le précédent alter ego, Kirk Langstrom ?
(Contient les épisodes #22 à 29)
Une fois de plus Gueule d’Argile s’est évadé d’Arkham, et une fois de plus Gueule d’Argile s’en prend aux habitants de Gotham en changeant d’apparence, en prenant l’identité d’autres personnes. Mais une fois de plus, Batman veille au grain et renvoie le criminel dans sa cellule à l’Asile d’Arkham.
Ce n’est pas tant le combat entre les deux ennemis qui est intéressant mais plus la plongée, grâce à Gregg Hurwitz, dans les origines de Gueule d’Argile, dans les débuts de Basil Karlo !
Un jeune garçon quelconque, passant totalement inaperçu et ayant soif de reconnaissance, de regard sur lui, de lumière. Avec le temps, ce besoin est devenu vital et a fini par gangréner le jeune Basil. Tellement obnubilé par le fait de devenir célèbre et aimer de tous qu’il a fini par accepter tout et n’importe quoi ! Le n’importe quoi étant parfaitement illustré par son accord avec le Pingouin !
Cette nouvelle enquête, cette nouvelle opposition va permettre à Batman et Gordon de comprendre les aspirations véritables de Basil, simple looser en manque de reconnaissance. Cette nouvelle rencontre est merveilleusement bien illustrée par Alex Maleev, dessinateur idéal pour un tel vilain.
Ce quatrième, et ultime tome nous propose deux autres histoires. Une première, entièrement silencieuse, sans la moindre bulle, où Batman se retrouve face à une sombre et sinistre histoire d’esclavage, avec une famille déchirée et victime de ce fléau. Il faut saluer le magnifique travail d’Alberto Ponticelli qui livre un travail somptueux et magistral, où son travail, ses dessins, suffisent à nous conter l’histoire, à faire transmettre les émotions, les plus dures soient-elles.
La dernière intrigue oppose Batman à un nouveau Man-Bat, plus gros, plus puissant et plus dangereux que le précédent. Batman va être surpris en découvrant l’identité de ce nouvel ennemi, nous rappelant légèrement la famille Osborn dans Spider-Man.
Graphiquement, cette histoire est l’œuvre d’Ethan Van Sciver, et je dois reconnaître être de moins en moins fan de cet artiste. L’impression de toujours revoir la même chose.
Encore une fois, Batman, le Chevalier Noir nous propose des intrigues simples, bien écrites et intéressantes. Pas de prise de tête, des histoires qui courent sur quelques chapitres, pas de trucs à rallonge où qui vont polluer les autres titres de la Bat-Family. D’ailleurs ce titre, aura été le seul à ne pas souffrir et devoir supporter des intrigues de Scott Snyder sur Batman. Rien qu’en cela, c’est un bon point !
Bref, clap de fin pour Batman, le Chevalier Noir ! A l’image des précédents tomes, des précédentes intrigues, De l’Argile fut un tome plaisant à lire, à suivre, avec un bon travail sur son vilain. Un bon divertissement, je n’en demande pas plus, le titre est donc au niveau de mes attentes, c’est le principal.
Re: Batman : Le Chevalier Noir (New 52)
Sam 27 Juin 2020 - 11:49
Un peu un gros caca ce tome 1 non ? mais à 4€90 on va pas se plaindre... quoi que...
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